Lorsqu’on est un investisseur français lambda, on cherche avant tout à remplir son PEA.
Par contre, on peut vouloir se diversifier géographiquement et sectoriellement. Certes, la France compte de belles entreprises de la tech, mais soyons réaliste, le NASDAQ l’emporte haut et fort sur ce créneau.
Un exemple d’ETF sur le Nasdaq compatible avec un PEA: Amundi PEA Nasdaq-100 (PUST)
L’ETF Amundi PEA Nasdaq-100 (PUST) se distingue comme le principal ETF français permettant aux investisseurs d’accéder au Nasdaq 100 via une enveloppe PEA, avec des performances historiques impressionnantes (+154,9% sur 5 ans), en cohérence avec l’exceptionnelle progression du Nasdaq.
Malgré sa réplication synthétique qui introduit un risque de contrepartie, ses frais modérés (0,30%) et sa liquidité satisfaisante en font un véhicule d’investissement simple et attractif pour une exposition au secteur technologique américain.
L’ETF Amundi PEA Nasdaq-100 UCITS ETF Acc (PUST) est un fonds indiciel coté qui permet aux investisseurs français d’accéder à la performance des 100 plus grandes entreprises non financières cotées sur le Nasdaq. Créé le 20 mai 2014, cet ETF présente plusieurs caractéristiques qui le distinguent.
Encours sous gestion : Environ 568 millions d’euros
Politique de dividendes : Capitalisation (les dividendes sont réinvestis)
Éligibilité PEA. Coté en euros.
La particularité principale de cet ETF est son éligibilité au Plan d’Épargne en Actions (PEA), qui offre un cadre fiscal avantageux pour les investisseurs français.
Performances historiques L’ETF PUST a affiché des performances aussi remarquables que son indice de référence au fil des années :
Performance sur 1 an : +5,81% (au 31 mars 2025)
Performance sur 3 ans : +35,24%
Performance sur 5 ans : +154,9%
Performance sur 10 ans : +364,43%
Les performances annuelles sur les dernières années montrent une forte volatilité, caractéristique des investissements centrés sur le secteur technologique :
Ces mesures indiquent que l’ETF suit de près son indice de référence (R² élevé et Beta proche de 1) tout en générant un léger alpha positif, signe d’une bonne gestion de la réplication.
Comparaison avec ses principaux concurrents
ETF éligibles au PEA:
L’ETF PUST fait face à une concurrence limitée dans l’univers des ETF PEA répliquant le Nasdaq 100 :
Nom de l’ETF
Code ISIN
Encours
Frais
Réplication
Performance 5 ans
Amundi PEA Nasdaq-100 UCITS ETF Acc
FR0011871110
568-605 M€
0,30%
Synthétique
+154,54%
Amundi PEA US Tech ESG UCITS ETF
FR0013412269
420-430 M€
0,30%
Synthétique
+156,24%
Amundi Nasdaq-100 Daily (2X) Lev UCITS ETF
FR0010342592
954 M€
0,60%
Synthétique
N/A
Le principal concurrent direct est l’Amundi PEA US Tech ESG, qui suit un indice différent (Solactive ESG US Tech 100) mais offre une exposition similaire, avec une légère surperformance sur 5 ans. La différence principale réside dans les critères ESG appliqués à la sélection des titres, ce qui entraîne une concentration plus importante sur certaines valeurs.
Remarque: Le LQQ (Amundi Nasdaq-100 Daily (2X) Lev UCITS ETF) est un produit à levier qui n’a pas réellement d’intérêt pour l’investisseur à long terme. Le risque est supérieur pour un rendement semblable comme le montre la comparaison entre les deux ci-dessous.
Comparaison avec des ETF Nasdaq 100 non-PEA:
Si on élargit la comparaison aux ETF Nasdaq 100 non éligibles au PEA, d’autres alternatives existent :
Nom de l’ETF
Encours (M€)
Frais
Réplication
iShares Nasdaq 100 UCITS ETF (Acc)
13 292
0,30%
Physique
Invesco EQQQ Nasdaq-100 UCITS ETF
6 618
0,30%
Physique
Amundi Nasdaq-100 II UCITS ETF Acc
3 313
0,22%
Synthétique
Ces ETF non-PEA présentent généralement des encours plus importants et parfois des frais légèrement inférieurs (comme l’Amundi Nasdaq-100 II avec 0,22%). Certains utilisent également une réplication physique plutôt que synthétique, ce qui peut réduire le risque de contrepartie.
Les risques:
Evidemment, il y a le risque de marché, car rien ne dit que le Nasdaq va continuer de performer à l’avenir, mais si vous souhaitez investir dans cet indice, c’est que vous pensez le contraire !
Risque de change
Pour les ETF comme PUST qui investissent sur des marchés étrangers (ici les États-Unis), les fluctuations des taux de change entre l’euro et le dollar peuvent affecter la performance. Cet ETF n’est pas couvert en change. Ce n’est pas forcément un problème, il faut juste en avoir conscience et le prendre en compte dans sa diversification en devises.
Risque de contrepartie
Spécifique aux ETF à réplication synthétique comme PUST, ce risque provient de l’utilisation de swaps. Si la contrepartie du swap (ici BNP Paribas) fait défaut, l’ETF pourrait ne pas répliquer correctement la performance de l’indice. Evidemment, il y a d’autres garanties prises par la contrepartie et il faudrait tout de même des conditions systémiques pour qu’on en arrive là… Ceci dit, cela s’est déjà vu avec des plus acteurs plus gros que la BNP !
Risques liés aux produits dérivés
Pour les ETF synthétiques comme PUST, l’utilisation de produits dérivés ajoute une couche de complexité et potentiellement de risque. Ces instruments peuvent introduire une opacité sur la composition réelle du portefeuille et amplifier certains risques en cas de conditions de marché extrêmes.
Or justement, l’investisseur long terme veut se sécuriser lorsqu’il y a justement des conditions extrêmes !
Que fait l’investisseur (très) particulier ?
A titre personnel, j’envisage l’ETF PUST pour le placer dans mon PEA. Sur du long terme en mode « buy & hold », je prendrai plutôt un ETF à réplication physique sur compte-titre. Mais chacun sa vision sur le sujet. A moins d’un scénario « fin du monde », je ne pense pas qu’il y ait un véritable risque avec les ETF synthétiques pour les PEA (j’ai d’ailleurs du WPEA en portefeuille « très long terme »). Je n’ai jamais vraiment apprécié les ETF, préférant la détention directe des titres.
Graphiquement, le « krach Trump » n’est peut-être pas fini, mais en tout cas, il représente une correction équivalente à celui provoqué par le Covid en 2020, ce qui suggère un niveau d’entrée acceptable, soit environ -30% par rapport aux plus hauts. Le RSI hebdomadaire est à l’achat et on a frôlé la MM200 hebdo, ce qui sur le Nasdaq est rare.
Evidemment, cela implique de penser que les techs américaines vont continuer à performer dans l’avenir…
En ce qui me concerne, j’utiliserai l’ETF PUST pour un long swing trade (rebond d’au moins 50% avant une prise de bénéfices) ou, ce que je fais réellement sur mon propre portefeuille, une stratégie de Value Averaging à long terme (car au final, le risque spécifique de l’ETF est dilué dans ma diversification d’actifs). Mais bien sûr, à chacun sa stratégie.
Rappelons que les stratégies sur les ETF indiciels sont en général plus performantes que le stock-picking, c’est d’ailleurs pour cette raison que je leur accorde une place de plus en plus importantes dans mon porte-feuille global.
Disclaimer: Le contenu de cet article n’exprime qu’une opinion personnelle et montre, à titre informatif, les risques associés à un investissement. Ceci ne correspond en aucun cas à un conseil en investissement. Chacun est responsable de ses propres décisions en investissement !
Novo Nordisk, le géant danois de la santé, est une entreprise qui ne cesse de faire parler d’elle, notamment grâce à ses traitements « révolutionnaires » contre le diabète et l’obésité.
Le cœur battant de Novo Nordisk
Novo Nordisk génère ses revenus principalement à travers deux segments clés :
Diabète et soins contre l’obésité : Ce segment inclut des produits phares comme l’insuline, les agonistes GLP-1 (Ozempic, Wegovy), ainsi que des médicaments oraux contre le diabète. Ces traitements représentent plus de 57 % des ventes aux États-Unis, un marché crucial pour l’entreprise.
Biopharmaceutiques : Ce segment couvre les traitements pour l’hémophilie, les troubles de croissance et les thérapies hormonales. Bien que moins dominant, il reste essentiel pour diversifier les revenus.
La demande pour les médicaments contre l’obésité (notamment Wegovy) a explosé ces dernières années, doublant les ventes en 2024. Cependant, cette croissance rapide a entraîné des contraintes d’approvisionnement que Novo s’efforce de résoudre grâce à des investissements massifs dans ses capacités de production.
Cours boursier : montagnes russes, couteau qui tombe ou ascension durable ?
Le cours boursier de Novo Nordisk a connu une volatilité importante.
Novo Nordisk, en données hedbomadaires. En passant, je vous laisse mon point d’entrée et mon PRU actuel. Ceci n’est pas un conseil en investissement !
L’action a atteint un sommet à plus de 1000 DKK en juin 2024 avant de chuter de plus de 50 % depuis cette période.
En avril 2025, l’action se négocie autour de 400 DKK, marquant une baisse significative par rapport à son apogée.
Malgré cette chute, l’entreprise conserve un « moat économique » solide grâce à ses actifs intangibles dans les maladies cardiométaboliques et ses capacités d’innovation. Les analystes estiment que Novo pourrait capturer jusqu’à 75 milliards USD du marché mondial des GLP-1 d’ici 2031 (voir par exemple https://www.morningstar.com/stocks/is-novo-nordisk-stock-buy-after-its-collapse ).
Que nous réserve Novo Nordisk d’ici 2035 ?
Les perspectives à long terme pour Novo Nordisk sont prometteuses :
Croissance des revenus : Les ventes devraient atteindre 567 milliards DKK en 2030, soit une augmentation impressionnante par rapport aux 355 milliards DKK prévus en 2025. Si on considère le passé, on ne peut que constater une croissance continue, même si les marges ont baissé.
Expansion du marché : La demande mondiale pour les traitements contre l’obésité et le diabète devrait croître rapidement. Cependant, la concurrence féroce avec Eli Lilly pourrait limiter la domination totale de Novo Nordisk.
Risques : L’entreprise devra faire face à des pressions réglementaires (notamment aux États-Unis, où l’administration Trump ne va certainement pas faire de cadeaux à des entreprises non-américaines) et à des défis liés à la production. De plus, la dépendance aux GLP-1 expose Novo à des risques liés aux brevets expirant en 2032.
La concurrence et les pressions sur les prix jouent un rôle central dans les prévisions de Novo Nordisk, en particulier dans le marché des médicaments contre l’obésité et le diabète, où l’entreprise est un acteur dominant.
Depuis 2017, le cours d’Eli Lilly semble l’emporter face à Novo Nordisk (ici cotations dollars à N-Y)
Novo Nordisk fait face à une concurrence virulente, notamment d’Eli Lilly, qui a lancé des alternatives puissantes comme Mounjaro (tirzepatide) et Zepbound. Ces produits ont rapidement gagné des parts de marché grâce à leur efficacité et à des résultats cliniques impressionnants. Par exemple, le nouveau médicament d’Eli Lilly, retatrutide, a montré une perte de poids moyenne de 24,4 % en 48 semaines, dépassant légèrement les 22 % obtenus par Novo Nordisk avec Amycretin.
Cette montée en puissance des concurrents exerce une pression sur Novo pour innover et maintenir sa position dominante. Bien que le marché de l’obésité soit en forte croissance (estimé à plus de 100 milliards USD dans les années à venir), il devient évident qu’il y a de la place pour plusieurs acteurs majeurs. Cependant, chaque part de marché perdue pourrait affecter significativement les revenus futurs de Novo Nordisk.
Les pressions sur les prix proviennent de plusieurs fronts !
Pour rester compétitif face à Eli Lilly et d’autres acteurs émergents, Novo Nordisk a annoncé des baisses importantes du prix de Wegovy via son initiative NovoCare. Ce programme propose des réductions allant jusqu’à 50 % pour attirer davantage de patients.
Ces pressions tarifaires affectent directement la marge bénéficiaire de Novo Nordisk et limitent sa capacité à investir dans la recherche et le développement.
Novo Nordisk s’efforce de diversifier son portefeuille avec des médicaments prometteurs comme CagriSema, dont l’approbation réglementaire est prévue en 2026. Cependant, certains essais cliniques récents ont déçu les attentes, ce qui pourrait ralentir cette stratégie.
Malgré la pression actuelle, le potentiel du marché mondial reste énorme grâce à l’augmentation du nombre de patients souffrant d’obésité et de diabète.
Investir ou patienter ?
Novo Nordisk ressemble un peu à un sprinter qui se prépare pour un marathon. Avec ses médicaments vedettes comme Ozempic et Wegovy, elle court vite… mais attention au souffle ! Entre une concurrence acharnée et des défis logistiques, l’entreprise devra maintenir son rythme sans trébucher.
Pour les investisseurs particuliers, Novo Nordisk pourrait être une opportunité intéressante si vous êtes prêt à supporter quelques turbulences. Après tout, qui n’aime pas une bonne dose d’adrénaline sur le marché boursier ?
Attention cependant à ne pas essayer d’attraper un couteau qui tombe. Même si l’analyse technique a ses limites, on ne peut que noter que le RSI hebdomadaire n’est passé sous 20 que deux fois (une fois en 2002 et une fois en 2017) et cela représentait à chaque fois d’excellents points d’entrée.
Certes, la concurrence est présente, mais c’était également le cas ces 20 dernières années. Novo Nordisk a toujours su s’adapter jusqu’à présent et très souvent, les cycles d’innovations sont décalés entre des concurrents, l’un prenant l’avantage pendant quelques années sur l’autre, et vis-versa.
En ce qui me concerne, j’ai commencé à un DCA « aggressif » car le prix peut encore baisser grandement, ne serait-ce qu’en raison du contexte global, mais je veux profiter de cette correction pour me constituer une petite poche d’actions Novo.
Mes propres règles de diversification m’indiquent que je cible 2 à 3 % de mon portefeuille global.
Disclaimer: Le contenu de cet article n’exprime qu’une opinion personnelle et montre, à titre informatif, un exemple d’ analyse d’une entreprise. Ceci ne correspond en aucun cas à un conseil en investissement. Chacun est responsable de ses propres décisions en investissement !
Après les 10 pires baisses journalières du S&P 500, l’indice a enregistré des rendements positifs à deux chiffres dans tous les cas sauf un, avec un rendement médian supérieur à 10 % un an après ces événements.
Exemple de rebond rapide :
Après la chute de 12 % du S&P 500 le 16 mars 2020 (début de la pandémie), l’indice a récupéré ses pertes en moins de six mois et a terminé l’année avec un gain annuel positif.
Lors de la chute la plus récente (vendredi 4 avril 2025), le Nasdaq a perdu plus de 20 % par rapport à son sommet, tandis que le S&P 500 a chuté de 16 %. Comme souvent avec ce type de baisses, elles sont accompagnées par une volatilité importante, avec un indice VIX qui explose.
3. Quelques illustrations historiques récentes
La crise financière de 2008:
L’avantage en ce qui concerne les investisseurs « anciens », c’est qu’ils y étaient. Les plus « jeunes » n’ont quasiment connus qu’une longue ascension des indices, avec peut-être, quelques mini-krachs par ci par là, mais je vous assure que la crise de 2008, accompagnée de la crise de la dette grecque, c’était quelque chose de marquant. Tout le monde craignait que le capitalisme ne s’en sorte pas et il fallait avoir de réelles convictions pour passer à l’achat de manière conséquente.
Le S&P 500 a chuté de près de 9 % le 15 octobre 2008. Dans les six mois suivants, l’indice a continué à baisser avant d’entamer une reprise durable en mars 2009. Un an après cette journée, l’indice avait progressé d’environ 23 %.
Crash du « Lundi noir » (1987) :
Le S&P 500 a perdu 20,5 % en une seule journée le 19 octobre 1987. Cependant, il avait récupéré toutes ses pertes en moins de deux ans et clôturé l’année suivante avec un rendement positif.
Pandémie COVID-19 (mars 2020) :
Après une chute de plus de 5 % sur plusieurs journées consécutives en mars 2020, le Nasdaq et le S&P ont enregistré des gains significatifs dans les mois suivants grâce aux mesures monétaires et fiscales massives. Par exemple :
Le Nasdaq a progressé de plus de 40 % sur l’année malgré la crise initiale.
Le S&P a terminé l’année avec un gain annuel d’environ 16 %.
En résumé, les tendances générales sont: – Les baisses importantes (>5 %) sont souvent suivies par des rendements positifs sur un horizon d’un an.
– À court terme (6 jours à quelques semaines), la volatilité reste élevée, mais des rebonds techniques sont fréquents.
Les rendements à long terme dépendent fortement du contexte économique et des interventions politiques ou monétaires.
Les données historiques montrent que les marchés ont tendance à se redresser après des baisses importantes, mais la trajectoire peut être marquée par une volatilité accrue dans les jours qui suivent.
Si on remonte un peu plus loin, il y a quelques exceptions notables…
1929 – Crash de la Grande Dépression: Les 28 et 29 octobre 1929, le Dow Jones a perdu environ 25 % en deux jours. Le S&P 500 (ou son équivalent à l’époque) a suivi une trajectoire similaire.
Le marché n’a pas retrouvé ses niveaux d’avant-crash avant 1954, soit 25 ans plus tard (!!!).
2000-2002 – Éclatement de la bulle Internet: Le Nasdaq a perdu près de 10 % en une seule journée le 14 avril 2000.
Entre mars 2000 et octobre 2002, le Nasdaq a perdu près de 80 % de sa valeur. Cependant, certaines actions hors secteur technologique ont enregistré des gains (exemple : Berkshire Hathaway +25 % en 2000).
On peut donc constater que les périodes prolongées de déclin (exemple : crise de 1929 ou éclatement de la bulle Internet) sont généralement associées à des changements structurels dans l’économie.
Or, peut-on considérer que l’IA entraînera forcément un changement structurel dans l’économie ?
Se peut-il que, ce qui semble être une stratégie douteuse sur le plan économique (la politique économique aggressive de Trump), soit un coup joué (peut-être) un peu trop à l’avance ?
Autrement dit, serions-nous dans les conditions d’un changement structurel durable entraînant une longue période de plusieurs années de « difficultés » boursières ?
Il est évidemment extrêmement difficile de prédire l’impact réel de l’IA sur l’économie mondiale, de même que les décisions « innovantes » de Trump, et je ne m’y risquerai pas.
B/ Que fait l’investisseur particulier ?
Ceci n’est évidemment pas un conseil en investissement, mais simplement un exemple de ce qu’un simple particulier peut faire en ce moment.
En ce qui me concerne, j’ai suivi 3 « indicateurs »: Buffet, Technique et DCA.
1. Warren Buffet
J’ai toujours eu du respect pour Warren Buffet. Après tout, investir soi-même pendant près d’un siècle ne peut donner qu’une forte expérience à quiconque vivant assez longtemps avec un portefeuille suffisamment garni. Même un investisseur médiocre pourrait finir par apprendre de ses erreurs, et pour peu qu’on ait un réel talent, et bien on s’appelle Buffet !
Bref, je garde toujours un oeil sur ce qu’il fait, même si forcément, il a toujours un coup d’avance.
Mais regardons ce qu’il a fait ces derniers temps…
Vente massive d’actions en 2024 :
En prévision de la volatilité actuelle du marché, Buffett a vendu environ 134 milliards de dollars d’actions en 2024, réduisant considérablement les positions dans des entreprises comme Apple et Bank of America.
Cette stratégie a permis à Berkshire Hathaway d’accumuler une réserve de liquidités record de 334 milliards de dollars, soit presque le double par rapport à l’année précédente.
Performance exceptionnelle en 2025 :
Alors que le S&P 500 a chuté de 4,6 % depuis le début de l’année, les actions de Berkshire Hathaway ont progressé de 16,2 %, grâce à une gestion prudente et des investissements bien ciblés.
Des entreprises clés du portefeuille de Berkshire, comme BYD (+41 %), T-Mobile US (+21 %) et VeriSign (+23 %), ont surperformé malgré le contexte économique difficile.
Investissements dans les « bons » actifs :
Buffett a renforcé ses positions dans les bons du Trésor à court terme, profitant de rendements améliorés tout en protégeant ses liquidités contre la volatilité.
Il a également augmenté ses investissements dans les cinq plus grandes maisons de commerce japonaises (Mitsui, Mitsubishi, Sumitomo, Itochu et Marubeni), qui jouent un rôle central dans l’économie japonaise et offrent une diversification géographique.
Anticipation du krach lié aux tarifs douaniers :
Le récent effondrement des marchés a été déclenché par les tarifs douaniers agressifs imposés par l’administration Trump.
Buffett semblait avoir anticipé cette crise en réduisant ses positions dans des secteurs vulnérables comme la technologie et la finance. Par exemple, Apple, qui dépend fortement de la Chine pour sa production, a vu son action chuter de 28 % depuis son sommet en décembre 2024.
Attente avant d’agir davantage :
Bien qu’il soit connu pour acheter lors des crises (« être avide quand les autres sont craintifs »), Buffett n’a pas encore effectué d’achats significatifs en réponse au krach actuel. Il pourrait attendre une baisse encore plus importante avant d’investir massivement.
Historiquement, il a utilisé des crises similaires pour acquérir des entreprises à des prix réduits (exemple : déploiement de 26 milliards de dollars entre 2008 et 2009).
Conclusion: Warren Buffett démontre une fois encore sa capacité à naviguer dans des marchés turbulents grâce à une stratégie prudente et bien calculée. En se positionnant avec une réserve massive de liquidités et en diversifiant ses investissements géographiquement (notamment au Japon), il est idéalement placé pour profiter d’opportunités futures tout en minimisant les risques immédiats. Ses décisions récentes mettent en évidence son approche disciplinée face aux valorisations élevées et aux incertitudes économiques.
J’ai donc suivi en partie ses actions, en gardant (alors que l’envie d’investir davantage me démangeait fortement) une grosse poche de cash (un peu plus de 42%, en incluant mes stablecoins).
Je me suis aussi délesté quelques peu de certaines de mes actions, la plupart pour racheter plus bas, mais j’ai surtout pris une position sur le BX4 (tracker short X2 sur le CAC40) et DSD (tracker short X2 sur le DAX) (l’ensemble reste aux alentours de 5% de mon portefeuille global). En effet, je ne suis pas du tout porté sur les produits à levier ni sur les options, mais j’aime faire une sorte de swing trading de temps à autre avec des trackers short. Au pire, je ne gagne presque rien ou je perd un peu, au mieux, cela m’aide à supporter la baisse globale de mon portefeuille.
On peut dire que je suis « long only », mais qu’il m’arrive de faire quelques exceptions sur une petite partie de mon portefeuille. En fait, c’est surtout pour marquer psychologiquement mon positionnement « prudent ». Si je reviens en cash, c’est que je crains une chute boursière ou dumoins que les mes autres actifs sont plutôt surévalués. Si je vais jusqu’à prendre quelques positions short, c’est que je crains un mouvement « prochain » et/ou violent. Comme personne ne peut timer le marché régulièrement, je me contente surtout d’accumuler passivement en DCA, en gardant du cash pour racheter quand cela baisse vraiment.
2. Les indicateurs techniques
Depuis plusieurs années, je ne regarde quasiment plus que les indicateurs sur ce graphique:
La moyenne mobile 200 semaines (ou autres périodicité): en dessous, j’achète, au-dessus, je vends. C’est un peu plus compliqué que cela, mais l’idée est simple.
Le RSI 14 (et sa moyenne mobile exponentielle 12): dans le vert, je pense acheter, dans le rouge, je pense vendre. Quand cela sort de ces zones avec des RSI vraiment extrêmes (<10 ou >90), en général, je n’hésite pas. Pour la moyenne mobile 12, sur certaines actions de fond de portefeuille, j’ai tendance à renforcer davantage quand le RSI passe sous sa MME12.
Un indicateur de bandes de Bollinger modifié, qui utilise des ratios de Fibonacci: quand les grosses bandes rouges sont atteinte, on est sur des extrêmes, qui sauf pour une action ultra-haussière (NVDA par exemple) est un signal de vente. De même pour la grosse bande verte, qui sauf pour des actions qui risquent la faillite ou de s’enfoncer durablement dans les décombres, est un fort signal d’achat.
Je l’ai déjà dit à maintes reprises, les signaux techniques ne sont rien sans une analyse plus fondamentale des raisons pour lesquelles ces signaux sont dans des extrêmes.
Par exemple, j’ai fais une très mauvaise entrée due à une sous-évaluation des risques sur Clariane, et j’ai bien eu du mal à y gagner quelque chose (mon PRU était à 3.94 €, mais j’ai réussit à enfin me débarasser de ma ligne sur à +6.12%). Après presque 2 ans et demi de patient DCA, ce qui me fait moins que l’inflation au final… Ceci dit, le signal technique de vente est venu pile poil au bon moment…
3. Dollar Cost Averaging
Comme la plupart de mes achats se font en DCA ou un Value Averaging, ou en une adaptation de ces méthodes (achat seulement si le RSI est sous sa MME12; seulement si le PRU baisse et que le cours est sous la MM200 semaines, etc), je me pose surtout la question de savoir quoi acheter, mais ni quand ni comment. Tant qu’il s’agit d’un actif de qualité (dont les ETF sur indices), il n’y a pas de raison de s’inquiéter à long terme.
C’est une méthode psychologiquement reposante, et qui entraîne des pointes d’optimisme en plein krach. Par exemple, là de suite, après une journée rouge sang sur les indices, je me dis « chouette, je vais racheter bien plus d’actions avec mes DCA ». Pourtant, bien sûr, une chute des indices ne fait pas du bien à mon portefeuille sur le coup. Mais à long terme, l’important est d’avoir un bon prix d’achat pour pouvoir dégager une marge de bénéfices intéressante.
L’autre question que je me pose souvent, c’est « quand vendre ». Là encore, soit je fais une sortie en « DCA inversé » soit j’ai des palliers prévus à l’avance, soit je sors une part (30, souvent 50%) sur certains signaux techniques, puis le reste sur une autre condition.
Par exemple, j’ai une position (environ 2% de mon portefeuille global) sur AT&T que j’avais commencé en 2018 il me semble, sur DEGIRO et que j’ai vendu en 2023 pour racheter plus bas sur IB, améliorant mon PRU. J’ai vendu « trop tôt » vers 22$ (avec un PRU de 16.77$ et pas mal d’années de dividendes), tout en me disant que cela pouvait encore monter plus haut.
J’ai mon ordre de vente à 30 $, mais je vais sans doute tout solder rapidement, car la bande rouge a été touchée (et j’aurai dû vendre, mais j’espérais que le prix psychologique des 30$ allait être frôlé).
Bref, je me sers des signaux techniques pour affiner mes entrées et mes sorties, mais surtout pour convaincre ma psychée d’agir. C’est d’autant plus difficile que l’on s’habitue à garder une position, surtout quand elle est gagnante et/ou qu’elle paie régulièrement des dividendes.
Comme j’essaie au mieux de n’investir que dans des valeurs que je garderai à long terme, c’est souvent juste pour racheter plus bas et optimiser les plus-values.
Conclusion
Quoiqu’il arrive (récession, crise économique majeure, ou simple krach « classique » et périodique), le plus simple est sans doute de continuer ses investissements, raisonnablement, avec méthode et rigueur, en attendant de meilleurs jours, qui finiront forcément par arriver. Même si j’espère que nous ne sommes pas partie pour 25 ans de baisse ou de stagnation, au pire, cela ne devrait pas être moins rentable que de juste être en cash à 100% !
Le passé nous apprend que dans la grande majorité des cas, d’ici quelques mois ou un ou deux ans maximum, tout actif de qualité qui aura été acheté maintenant, aura été une bonne affaire.
Et comme le disait Keynes :
« In the long run, we are all dead. Economists set themselves too easy, too useless a task if in tempestuous seasons they can only tell us that when the storm is past the ocean is flat again. » (A Tract on Monetary Reform, 1923)
« À long terme, nous sommes tous morts. Les économistes se donnent une tâche trop facile, trop inutile, s’ils ne peuvent, en des saisons tumultueuses, que nous dire qu’une fois la tempête passée, l’océan redevient calme. » (A Tract on Monetary Reform, 1923)
Disclaimer: Aucun contenu de cet article n’est un conseil en investissement. Ce site n’a que pour vocation de montrer divers points de vue. Chacun est responsable de ses propres décisions en investissement.
Oui, tous les indices sont au vert, mais mon « excès » de prudence est forcément contre-productif. Ceci dit, la prudence paye surtout au moment où on en a besoin ! Quand je vois que même Warren Buffet prend des profits et garde une quantité incroyable de cash, je me dis qu’au final, mon portefeuille très exposé aux cryptos n’est pas si prudent que cela !
Entre le 1er janvier 2024 et le 26 décembre, mon portefeuille global (comprenant tous mes biens financiers, hors résidence principale) a connu une bonne progression de +21,86% (contre +55% l’an passé), et même +43,87% si on compte les entrées d’argent dues à une plutôt bonne capacité d’épargne (contre+138% l’an passé, mais en grande partie en raison d’un héritage).
Rappelons que le SP500 a fait plus de 25%, mais que le CAC40 est à -2 % !
Grosso modo, ma performance est due à l’envolée du bitcoin minorée par une forte part de cash. Ma part d’actions a fait son job, mais rien d’exceptionnel. Ce qui est assez logique vu que j’ai une majorité de valeurs « prudentes » vu que le risque est pris surtout sur les cryptos…
Si on prend mon TRI annualisé sur 4 ans, il n’est « que » de 15,1%, ce qui certes, bat le marché action (et ce qui est déjà très satisfaisant !), mais replace mon niveau de gestion d’actifs dans un repère plus réaliste.
Remarques: 1. J’ai commencé par suivre mes investissements avec XlsAsset (de l’excellent sitehttps://www.investisseurs-heureux.fr/) qu’à partir de 2021 2. Je ne fais plus que des mises à jour une fois en fin d’année, mais pas en 2021; la courbe verte de la valeur nette est donc faussée car je ne mets à jour mes entrées qu’en fin d’année (il faudrait relier les points entre chaque mois de janvier) 3. Je continue à épargner tout excédent afin d’investir– j’ai aussi une épargne de précaution que je ne compte pas dans mes avoirs, au même titre que ma résidence principale 4. Je n’indique jamais des valeurs en euros dans mon blog, car cela ne regarde que mon inspecteur des impôts et je trouve cela au mieux exhibitionniste et au pire indécent dans un monde aux richesses si mal réparties …
Mon allocation d’actifs s’écarte durablement de mes habitudes, avec une surexposition à la fois en cash et en cryptomonnaies (qui sont à plus de la moitié constituées de bitcoin). Je m’adapte à l’investissement post 2020…
Cela peut sembler une allocation peu optimisée, mais il faut prendre en compte plusieurs facteurs importants:
J’ai passé l’âge de tout investir en actifs risqués pour rechercher des rendements à deux chiffres réguliers (même si c’est ce que je fais encore en partie…)
Mon portefeuille est suffisant grand pour me préoccuper davantage de le conserver face à l’inflation que de chercher des rendements impressionnants.
Ma part d’investissements en cryptomonnaies est très importante depuis le bull run de 2021 (sachant que j’ai commencé à investir dans cette poche fin 2020), et par conviction personnelle, même si je « crois » au cycle des 4 ans lié au halving du bitcoin (mais aussi au « cycle présidentiel US »).
J’ai pris un certain nombre de profits sur mes actions en fin d’année 2024, à tort ou à raison, nous verrons bien. Ce qui reste est presque exclusivement du DCA long terme qui s’apparente à du Buy&Hold. Pour les cryptos, je compte fortement diminuer mon exposition en 2025 (fin du cycle, a priori)
J’ai beaucoup de cash accumulé qui n’attend qu’un « bon moment » pour être investi. C’est sans doute contre-productif, mais psychologiquement rassurant.
La majorité de ma performance vient d’actifs risqués (dont surtout le bitcoin), donc une part en cash importante me permet de modérer le risque global du portefeuille.
Mes projections pour 2025:
Comme chaque année, je n’ai toujours pas de boule de cristal, aussi j’essaie de jouer sur plusieurs tableaux.
J’ai beaucoup de cash, que je vais donc continuer à investir raisonnablement (cible 1%, 2% max., de mon portefeuille global pour chaque actif) par une stratégie de DCA (qui s’apparente plus précisément à du Value Averaging dans la plupart des cas, pour renforcer ma poche d’actions. Je parle ici de ma poche d’investissement à moyen terme (voir cet article). Mes positions de fond de portefeuille action ne vont pas évoluer ou alors par quelques renforcements en petit DCA comme je le fais régulièrement.
En parallèle, je vais prendre fortement des profits sur mes cryptos à condition que le bitcoin connaisse un nouvel ATH (donc au-delà de 108000 $). Si ce n’est pas le cas, et que donc nous sommes déjà à la fin du bullrun, tant pis, je me contenterai des quelques profits déjà fait et je vais cibler 2028/29 ! Ceci dit, sauf événément grave, cela m’étonnerait un peu tout de même.
En fait, je commence à être plus à l’aise à détenir du bitcoin que de l’euro ou du dollar ! Non, je ne suis toujours pas maximaliste, mais je comprend que l’impression monétaire n’est pas prête de s’arrêter, et je n’aime pas avoir des pièces d’or chez moi (et encore moins en banque !). Je prend le pari de l’or numérique qu’est sans doute bitcoin.
Cela fait plusieurs années que je me dis que les arbres ne peuvent pas monter au ciel, bien qu’entre la dépréciation du cash et le fait qu’au final, tout le monde semble se réfugier dans les actions, faute de mieux (à part les « cryptobros » bien sûr!), je finis par penser que la chute des indices n’est pas encore pour tout de suite.
Sauf situation internationale encore plus grave bien sûr.
J’avoue que c’est un de mes gros sujets d’inquiétude. Je me dis souvent qu’à un moment, le bluff et les menaces finiront par aller trop loin et qu’un des nombreux dirigeants n’aura plus rien à perdre et entraînera l’humanité dans sa chute.
Je sais, j’ai toujours été pessimiste/réaliste au fond de moi.
Depuis la Guerre Froide, tout le monde a conscience que personne n’a rien à gagner avec une guerre entre puissances nucléaires, mais il suffirait qu’un d’entre eux pense que même avec un -90% de sa population la partie pourrait être gagnée sur le long terme ou qu’un véritable psychopathe se suicide avec la planète plutôt que de croire être vaincu…
Ceci dit, j’ai une position claire par rapport à cette hypothèse: de toute façon, si cela arrivait, l’investissement n’aura plus de sens. Autant considérer que cela ne peut pas arriver…
En ce qui concerne mes valeurs favorite:
IPDM : ISHARES PHYSICAL METALS PLC PHYSICAL PALLADIUM ETC USD ACC: Je pense que le Palladium a subi une double peine: d’une part la « fin des véhicules diesel » (catalyseurs) et d’autre part un effet suppresseur due à la guerre en Ukraine (la Russie étant l’immense producteur principal mondial de Palladium) et qu’il est donc sous-évalué. Comme cela reste incertain, je poursuis mon DCA.
Les valeurs pétrolières: Je pense que l’économie du pétrole n’a pas encore dit son dernier mot, et que d’ici qu’il y ait des solutions réalistes (en dehors de l’esprit des bureaucrates européens), il va encore y avoir une phase de pic et de tension.
Je fais donc un DCA sur toutes les valeurs suivantes:
MAERSK.A: AP Moeller – Maersk A/S Class A
IMPPP: Imperial Petroleum Perpetual Preferred Shares A (achats sous 25 $ uniquement)
TTE: Total Energies
OXY: Occidental Petroleum Corp
Enfin, une bonne vieille valeur de l’agrochimie que je classe dans les valeurs défensives, mais qui devrait finir par rebondir.
MOS: The Mosaic Company: Divergence haussière et stratégie d’achat sous la MM200 hebdo…
Par ailleurs, je continue mes achats récurrents sur Johnson&Johnson, Korea Electric Power ADR , UnitedHealth et Franklin (Templeton) FTSE Korea ETF et bien sûr iShares MSCI World Swap PEA ETF.
En attendant, je vous souhaite une excellente année 2025, bonheur, santé et surtout paix !
Bons investissements et soyez prudents ! N’investissez que des sommes que vous pourriez perdre !
Disclaimer: Tout ce qui est exprimé dans cet article ne reflète que l’avis personnel de son auteur et ne constitue en rien un conseil en investissement. Chacun est responsable de ses propres décisions dans la gestion de son patrimoine.
C’est chouette l’IA, mais il a vraiment du mal avec le texte sur les images: Palladium, c’est mieux avec 2 L !
Après avoir ouvert un compte « test » en avril 2024, voilà un retour d’expérience depuis. En effet, tout comme pour l’achat d’une voiture où l’on se base sur l’avis d’autres utilisateurs, les caractéristiques techniques, son propre avis évolue durant plusieurs mois.
Allons directement à la conclusion: je suis très satisfait de l’expérience.
Mais…
Il y a toujours un « mais » quelque part.
Les points positifs (et négatifs !):
Le cashback de la carte VISA:
Outre être gratuite, elle offre un petit cashback sous forme d’actions (ou plus précisément de parts d’actions) limité malheureusement à 15 euros par mois, soit une dépense de 1500 euros.
Ce n’est qu’un détail, mais j’aime bien le principe d’être rémunéré pour mettre à disposition mon argent à une banque. Les banques traditionnelles ont l’approche inverse: c’est à l’utilisateur qu’elle octroient l’immense honneur d’accepter son argent contre rétribution pour lui permettre de l’utiliser (sur autorisation!). A titre personnel, je n’ai plus de banque traditionnelle depuis des années, et je ne m’en porte pas plus mal. Pour ceux qui pensent que c’est un problème, notamment pour l’obtention d’un crédit, ne vous inquiétez pas: si vous ne trouvez pas votre bonheur dans une banque en ligne (qui ont souvent quelques crédits « préformatés » pouvant ne pas forcément répondre précisément à VOS besoins spécifiques), si votre dossier est correct, vous trouverez tout ce que vous voudrez dans n’importe quel réseau.
Mais l’idée ici n’est pas de vanter les avantages des banques en ligne. Revenons à Trade Republic. Ce qui me plait le plus avec leur carte VISA, c’est la facilité à suivre les opérations sur leur application. Notifications quasi-immédiates, cashback instantanément calculé. C’est presque tout ce qu’il me faut.
Le seul point à améliorer serait à mon avis la possibilité de séparer différents sous-comptes. En effet, l’unique compte courant sert à la fois à alimenter le compte-titre et à gérer les dépenses de la carte. Personnellement, cela ne me dérange pas, car on voit facilement un diagramme à bulles avec « revenus » et en face « dépenses » (de la carte donc) et « investir » (achats de titres). Les deux côtés s’équilibrant, il suffit de faire une simple soustraction. De plus, je dépose 1500 € (en plus de mes virements réguliers pour l’achat hebdomadaire de titres) et quand ma bulle « dépenses » atteint 1500 €, je remet ce que j’estime être nécessaire pour terminer le mois.
Bref, cela ne me dérange pas vraiment, mais j’imagine que cela pourrait être plus simple en séparant le cash dédié à l’investissement de celui dédié à la carte bancaire.
D’autre part, je n’ai jusqu’à présent jamais eu de soucis de paiement, que ce soit en France, y compris dans les distributeurs de carburant qui posent souvent des problèmes à certaines cartes. Dans ce cas, il y a un paiment à la pré-autorisation d’environ 150 euros (suivant l’enseigne), qui est corrigé à la vraie somme dépensée dès que le plein est terminé.
Je n’ai pas eu l’occasion de tester hors-France depuis l’ouverture du compte au printemps dernier, mais il n’y a aucune raison que cela ne fonctionne pas.
Mon cashback se transforme en actions JNJ au lieu d’aller uniquement enrichir une banque traditionnelle…
Remarque: Quand j’ai ouvert mon compte fin mars, il y avait une liste d’attente ENORME pour obtenir la carte et je pensais vraiment que je n’allais l’avoir qu’à la fin de l’année. En fait, il y a eu des grosses accélérations ce qui a fait que cela n’a duré qu’un peu plus de deux mois, à ce moment, avant de l’obtenir dans ma boite aux lettres.
Le plan d’investissement en titres:
Comme je le disais dans mon premier article, on peut choisir entre différentes périodicités. En ce qui me concerne, j’ai opté pour des achats récurrents hebdomadaires.
Petite remarque: hebdomadaire signifie 4 fois par mois et non pas tous les 7 jours. En résumé, les opérations ont lieu tous les 7 jours, mais la première du mois suivant est souvent décalée de quelques jours (puisqu’un mois ne fait pas 28 jours!). Evidemment, il peut aussi y avoir des décalages si la date J+7 tombe sur un jour férié. On ne contrôle donc pas exactement la périodicité, mais globalement, l’idée étant de lisser les achats en DCA, cela ne change pas grand chose et surtout, c’est extrêmement pratique.
Dans le premier article, j’émettais quelques doutes sur le timing dans la journée de l’achat et donc le prix réellement payé.
En effet, il y a souvent un spread dû à un achat groupé. Globalement, sans avoir fait une étude statistique à ce sujet, il y a parfois un prix plus bas que la moyenne de la journée et parfois un prix plus haut. Il arrive aussi (rarement) que le prix exécuté soit légèrement plus haut que le prix affiché par l’application graphique (ou en regardant sur Tradingview par exemple), surtout sur des actions un peu moins liquides.
Bref, pour ces petits différences, je trouve que l’avantage de l’automatisation compense grandement. De toute façon, je ne vois pas comment Trade Republic pourrait timer le marché et donc faire du day-trading pour optimiser les entrées, mais il y a certainement d’autres facteurs qui entrent en jeu (sachant qu’ils sous-traitent les achats au courtier Lang & Schwarz, qui rétrocède des commissions) et qui donnent justement cette impression de « frais cachés ». Dans les faits, c’est sans doute vrai, mais très franchement, pour le confort fourni, cela me va très bien.
Notez que je n’utilise mon compte que pour acheter des actions et des ETF, pas d’obligations ni de cryptos. Pour ces deux dernières catégories, je pense qu’il y a bien mieux ailleurs (même si en ce qui concerne les obligations, le fait de fractionner peut intéresser certains, mais si on veut investir sérieusement dans des obligations soit on passe par des ETF soit on dispose de grosses sommes et donc un courtier type IB).
Je continue de faire mes achats « swing trading » avec IB, car dans ce cas je veux maîtriser tous les paramètres. L’euro unique de frais pour des achats/vente sur Trade Republic n’est pas un argument pour moi. Si je fais une transaction importante de plusieurs dizaines de milliers d’euros, ce qui m’intéresse, c’est une exécution claire, fiable et sans frais « cachés », sur une « vraie » plateforme de trading et IB fait parfaitement l’affaire en ce qui me concerne. Je me vois mal faire du « trading » avec un smartphone sur des graphiques épurés. Par contre, pour un plan d’investissement régulier, cette simplicité est à mon avis un des atouts majeurs de Trade Republic.
J’utilise Trade Republic comme une combinaison compte-courant/carte bancaire + « Livret A boosté version compte-titre ».
Pour la petite histoire, j’ai ouvert ce compte dans l’idée de remplacer un PEL. Je veux mettre de côté environ 50 000 euros sur une échéance de 5 à 7 ans sans me casser la tête. Je prévois des travaux de toiture dans ma résidence principale. Evidemment, investir en actions sur 5-7 ans, c’est prendre un risque sur le rendement.
Mais si je fais mieux que le PEL (2,25% d’intérêts actuellement), cela sera tant mieux ! Si je fais moins bien, je prendrai des liquidités ailleurs (combinaison livret A, du cash restant sur des compte-titres et/ou un prêt en fonction des taux du moment) compte-tenu de la situation financière globale vers 2030. L’idée est de pouvoir me faire une sorte de prêt Lombart à moi-même en ne prenant comme part de risque que les fluctuations du marché actions.
L’idée est avant tout de « bloquer » une somme dans un compte séparé pour ces travaux nécessaires à terme.
Notez que j’ai non seulement une bonne capacité d’épargne, mais aussi un petit patrimoine qui me permet de prendre « des risques » sur les actions sur une échéance « si courte ».
En fait, je pense que Trade Republic et son plan d’investissement est très bien pour se constituer tranquillement un patrimoine. Mon exemple est peut-être un cas un peu particulier, mais même avec un investissement de 100 euros par mois, sur un temps suffisamment long, cela sera toujours mieux qu’un livret quelconque pour l’immense majorité des gens.
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Disclaimer: Je n’ai aucun lien commercial avec Trade Republic, si ce n’est la position de client et utilisateur de leur services. Faites vos propres recherches ! Chacun est responsable de ses propres investissments !
Deux semaines depuis ma dernière newsletter, et c’est un peu comme si je m’étais absenté deux ans !
J’ai eu quelques soucis avec mon hébergement internet, qui m’ont empêché de mettre à jour mon site, mais c’est un détail.
Voici donc un point un peu plus long que d’habitude, et quelques réflexions sur les cryptomonnaies en général.
Mais la grande affaire du moment, c’est la chute de l’écosystème TerraLuna !
Ce protocole a su fédérer une large communauté, y compris de développeurs, et l’écosystème fourmille de projets. Malheureusement, il a été bâti sur une faille qui le rendait vulnérable à une attaque coordonnée, en raison notamment de sa « faible » liquidité à la portée de certaines grosses bourses (plus d’explications techniques ici). La relation algorithmique entre le jeton natif LUNA et son « stable »coin UST est fragile puisqu’elle ne peut pas s’appuyer sur un collatéral exterieur en quantité suffisante. Cette catastrophe a entraîné tout le marché crypto, et ce n’est sans doute pas fini, car le protocole Anchor servait à beaucoup d’entreprises qui proposaient des rendements sur stablecoins…
La chute est telle que le graphique n’est pas assez précis (et me donne -100,10 %!)… C’est du jamais vu sur un token du TOP 10 !
J’était raisonnablement exposé, mais avec une perte totale ou presque sur un écosystème entier, ça aurait pu faire très très mal à mon portefeuille. Quand j’ai compris qu’il y avait un début de depeg contre le dollar dimanche dernier, j’ai vendu la majorité de mes UST qui validaient mes prises de profits sur mes swing trades sur ANC dont il ne me restait plus grand chose (et que j’aurai dû vendre sur le point d’entrée…). Malheureusement, j’ai gardé une partie de mes UST, dans ma partie « réserve de secours en cas d’opportunité ».
C’était stupide, car j’aurai dû aller au bout de ma logique, mais la psychologie intervient toujours. Dimanche soir, j’ai facilement vendu mes UST sur FTX, par contre, je n’avais pas envie de faire les manipulations nécessaires à transférer le restant sur une plateforme d’échange… Après, les choses se sont enchaînées et quand j’ai compris que le peg allait être définitivement perdu, nous étions déjà très loin de la parité avec le dollar !
Heureusement que je n’ai pas acheté du Luna quand il a touché mon niveau d’entrée prévu en début d’année vers 35 $, puisqu’entre temps, j’avais perdu confiance dans l’écosystème.
L’inconvénient d’être diversifié, c’est qu’il est difficile de suivre tout en même temps (surtout sur les cryptos où beaucoup de choses se passent 24h/24, 7j/7 !) Au moins sur les actions, les décisions sont prises lors des heures d’ouverture des Bourses !
L’avantage, c’est qu’au final, même une perte totale d’un actif, n’entraîne qu’une baisse de quelques pourcents du portefeuille global.
Malheureusement, si la diversification s’applique tout de même dans une certaine mesure, la diversification entre différentes cryptos est assez limitée. « L’affaire LUNA/UST » a entraîné toute la DeFi et donc tout le marché crypto avec lui.
Comme pour les actions, c’est souvent le bon moment pour acheter des tokens solides n’ayant aucun rapport direct ou suffisamment important avec la victime.
Néanmoins, c’est la pire dévaluation de mon portefeuille crypto depuis… Un an (et encore, mon portefeuille était très concentré sur le BTC, mais j’avais réussi à mettre à l’abri une grande part de mes profits lors du grand marché haussier entre fin 2020 et mai 2021).
Donc, depuis la dernière newsletter, (qui était déjà en forte perte), le décrochage a été de -21,34% en deux semaines !
Il faut avoir le coeur bien accroché quand on investi dans les cryptomonnaies !
au 15/5/2022 vers 11h00 CET – Source: https://quantifycrypto.com/heatmaps
L’indice de mon portefeuille crypto est donc à -30% depuis le début de l’année !
Connaissant le montant global investi et avec un marché action en difficulté, je devrais commencer à avoir des sueurs froides, mais j’ai connu le krach de 2008/09, donc rien ne m’inquiète vraiment (si ce n’est une guerre mondiale bien sûr)…
La Patience est une grande vertu de l’investisseur ! (Et surtout, pour le moment, je ne fais qu’absorber les gains exceptionnels dus à mon pari sur les cryptos de 2020/21, mais il ne faudrait pas que cela continue trop longtemps dans cette direction !)
(Rappel: les données de cet indice ne prennent pas en compte les rentrées d’euros fiats, mais seulement la performance « nette », ajouts de liquidités déduites, plus représentative).
1. BTC: Comme à chaque crise, le Roi retrouve sa place, même s’il subit les pertes du marché global. Je repasse progressivement en bitcoin. Je poursuis mon DCA sous différentes formes. Sans rentrer dans les détails, j’ai trois types d’ordres sur le bitcoin a) un DCA classique mensuel, quel que soit le niveau des cours b) un DCA sous condition de baisse du cours relative sur un mois c) des niveaux clés pour du plus long terme. Ici 30 000$. Ceci dit, le bitcoin n’en est qu’à 12,7% de mon portefeuille. En effet, la baisse peut très bien continuer et un bear market long s’installer.
2. BUSD: J’ai été impacté par des pertes (heureusement très limitées car je n’y ai mis qu’une part) dues à ma position de lending sur Just Mining (qui eux mêmes ont subi fortement l’affaire Luna/UST !). D’autre part, j’ai réinvesti surtout sur ATOM et quelques protocoles mineurs, FTM, Polygon, AVAX et un petit swing trade sur SYL. En fait, ma part de BUSD a même augmenté (puisque j’ai converti des UST à temps !).
3.ATOM: Je disais dans ma dernière newsletter que: « Mon prochain ordre est vers 8 $, donc autant dire qu’il faudra un crash sur les cryptos (ce qui est bien sûr possible !). » Il s’est donc déclenché… D’où l’intérêt de toujours cadrer un swing trade à l’avance, pour éviter de réfléchir dans la panique ! Cette position est donc devenue très importante dans mon portefeuille, mais cela ne me dérange en rien de posséder du jeton ATOM !
4. DAI: Très mauvais timing, vu que j’ai déposé il y a peu quelques DAI en lending sur Just Mining. Bon, tant pis, « il n’y a pas d’argent gratuit! ». Donc, ce stablecoin backé par de l’ETH (et qui a déjà fait preuve de sa résilience à travers divers krachs…) a vu sa part dans mon portefeuille augmenter, mais seulement parce que le reste a baissé davantage !
4 b (En théorie, je devrais placer l’Ethereum ici, mais comme ma position est scindée en gros en un tiers ETH sur le réseau principal et deux tiers wETH sur Polygon, je les compte séparement dans ma gestion du risque).
5. USDC: Je n’y ai pas touché, à part un renforcement opportuniste de quelques tokens Bifi (qui est un protocole qui devrait s’en remettre, vu son modèle d’aggrégateur DeFi).
6. The Winkyverse, grosse déception, dégringole toujours avec mon portefeuille. C’est le risque avec ce genre de projet, mais cela reste une position spéculative à moyen terme. Quand je dis spéculatif, cela signifie pour moi avoir conscience que je peux tout perdre (ou faire X10…) J’aurai sans doute dû vendre pour racheter plus bas, mais tant pis. Il y a une équipe derrière et le projet n’a pas changé, il faut laisser le temps à un investissement de se développer… Une ICO arrivant juste au début d’un bear market, ce n’est jamais très bon, mais comme on ne peut pas tout prévoir, il faut assumer… Heureusement que j’ai eu la bonne idée de réduire mon exposition d’1/6ème (mais j’aurai dû m’écouter pour le 2ème mois de vesting !)
7. BNB: Le jeton natif de Binance se retrouve dans mon TOP 10 alors que ce n’était pas mon but initial. Je n’en ai pas acheté depuis longtemps, mais malgré la baisse du marché, il maintient une certaine valeur, sans doute aussi à cause des déboires de Crypto.com ou de Coinbase. Cela prouve bien qu’il y a une sorte de « flight to quality » (ou ce qui est perçu en tant que tel car bien malin qui pourra connaître la valeur exacte de Binance).
8.PAXG: Ma poche d’or tokénisé m’a servi de réserve pour le décrochage du bitcoin vers 30 000 $. Il me reste néanmoins une part de ma position (qui servira si on retourne à 20 000 $ !)
9. TRX: Le jeton natif du réseau TRON se retrouve dans mon TOP 10. J’ai toujours considéré ce token comme une sorte de fond de portefeuille car grosso modo, il s’agit d’une copie d’Ethereum, mais avec des frais négligeable, qui a fait ses preuve depuis des années. J’aimais bien ce côté purement utile techniquement pour faire ce que doit faire un réseau: transférer des informations (et ici donc de la valeur). Je n’aime pas du tout le concept de l’USDD (qui n’est qu’une copie de l’UST dans son principe). Il faut que j’approfondisse rapidement la stabilisation de ce « stablecoin » made in TRON, car ce que j’ai compris, c’est que c’est basé sur exactement le même principe douteux que LUNA/UST mais avec TRX/USDD. Evidemment, les capitalisations et autres garanties ne sont pas les mêmes, mais… Quand je vois que ça commence fort avec ce genre de rendement:
J’avoue que cela me donne juste envie de fuir l’écosystème Tron au plus vite ! Mais comme tout cela va dépendre de comment est géré la faillite de TerraLuna, il est tout à fait possible que les gens, qui ont la mémoire courte en général, permettent au cours du TRX de s’envoler (provisoirement)..
Quoiqu’il en soit, à moins de trouver des explications rassurantes sur la stabilité de l’USDD, je vais solder ma position progressivement (pour aller sur du bitcoin). Surtout quand je vois ce genre de graphique qui me dit que c’est sans doute un bon moment pour l’échanger contre du BTC !…
10. DOT: Le Polkadot entre logiquement dans mon TOP 10, car il fait parti de mes achats récurents mensuels (avec le bitcoin et l’Ethereum). Cela en dit long sur ce que j’en pense. Accessoirement, sa remontée en dit long sur la puissance des stratégies DCA lors de tempêtes ! Bien sûr, la valorisation est malgré tout inférieure à mes sommes injectées, mais j’ai un horizon 2024 !
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En me relisant, je disais il y a 2 semaines:
« 2. UST: Je n’ai toujours pas mis ce stablecoin en farming. En fait, je réfléchis sérieusement à sortir de l’écosystème TerraLuna. J’ai toujours l’impression qu’il tient sur peu de chose, et qu’un problème avec le peg de l’UST ou des réserves d’Anchor Protocol pourrait créer une catastrophe. J’ai bien profité de quelques swing trade sur ANC et je me demande si je ne devrais pas m’en tenir là pour le moment. En attendant, je m’en sers comme collatéral pour mon trading sur FTX. »
Normalement, une décision devrait être prise aujourd’hui à 18h (heure de Paris) quant à l’avenir de l’écosystème… En effet, la débâcle du LUNA et de l’UST est une chose, mais il ne faut pas oublier les très nombreux protocoles bâtis dessus (Anchor bien sûr, mais aussi Mirror, Loop, Astroport et bien d’autres !) La plupart fonctionne très bien techniquement, mais si la base est pourrie… Cela fait des dégâts !
Une autre sortie de mon TOP10 est le protocole ELK Finance (qui subit violemment le choc sur la DeFi, même s’il n’a aucune exposition à l’écosystème TerraLuna, cela reste une nanocap !). Néanmoins, je suis de près le projet, et s’il survi au bear market, je pense qu’il pourra revenir. En passant, son modèle basé sur la protection de l’impermanent loss l’affaibli, mais d’un autre côté, il y a une certaine protection contre sa propre baisse. Comme ses tokénomics sont assez cohérents, cela peut fonctionner (à supposer que le modèle de liquidity mining survive).
Je crois que la plupart des investisseurs en cryptos devraient bien garder en tête que tout ceci reste expérimental. Toute la crypto n’en est qu’au stade expérimental.
Certes, l’idée d’avoir un « moteur de recherche » qui relie toutes les informations sur « la toile » était également expérimental dans les années 90…
Le marché global a rebondi sur un gros support, la prochaine cible serait de revenir sous les 500 milliards … Cela paraît être un nombre encore énorme, mais en fait, ce n’est « rien du tout »… Il peut tout aussi bien y avoir un rebond ou une latéralisation…
Quand on voit le marché action… Cela voudrait dire que l’ensemble du marché crypto vaudrait autant que … Facebook (enfin, META). Sachant qu’actuellement, on en est à la valorisation d’Amazon !
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Mon portefeuille se concentre toujours, notamment parce que les petits projets spéculatifs décrochent encore plus que mon TOP 10 relativement riche en stablecoins et un investissement dans le bitcoin !
Notez que ces dix principales positions représentent 62,1 % de mon portefeuille crypto total (fiats de réserve exclus, mais stablecoins et wETH inclus).
Bonne semaine et soyez prudents ! N’investissez que des sommes que vous pourriez perdre !
Disclaimer: Tout ce qui est exprimé dans cette lettre ne reflète que l’avis personnel de son auteur et ne constitue en rien un conseil en investissement. Chacun est responsable de ses propres décisions dans la gestion de son patrimoine.
Après une pause de 3 semaines durant lesquelles j’en ai profité pour un peu voyager, voilà un retour sur mon blog bien rouge ! Pour ce numéro 13 d’une newsletter qui se veut hebdomadaire, mais qui sera nécessairement à périodicité irrégulière, même si j’essaie de faire un point les week-ends, le marché crypto a encore baissé.
Je me retrouve quasiment à mon niveau de départ au début d’année (même si comme je le disais, j’ai exclu de mon portefeuille la valorisation de mes quelques NFTs en raison de leur illiquidité et du fait que je considère que cela peut valoir 0 en cas de besoin de revente immédiat, même s’ils ont tout de même une valeur actuellement) !
Ce qui prouve d’une part que quand le bitcoin dévisse, tout dévisse et d’autre part, que la diversification en crypto est plus un gage de sécurité que de recherche de performance.
Je continue donc tranquillement mes DCA, tout en en regardant les rendements du farming de stablecoins, comme un rocher au milieu d’une mer agitée.
au 1/5/2022 vers 14h00 CET – Source: https://quantifycrypto.com/heatmaps
Mon portefeuille crypto revient quasiment à la case départ. C’est certes toujours mieux que ceux qui investissent au plus haut parce que la crypto est hype à ce moment…
(Rappel: les données de cet indice ne prennent pas en compte les rentrées d’euros fiats, mais seulement la performance « nette », ajouts de liquidités déduites, plus représentative).
1. BUSD: Ce stablecoin se retrouve toujours à la première place de mon portefeuille. J’ai mis à jour des gains de farming. Il représente plus de 10% de mon portefeuille.
2. UST: Je n’ai toujours pas mis ce stablecoin en farming. En fait, je réfléchis sérieusement à sortir de l’écosystème TerraLuna. J’ai toujours l’impression qu’il tient sur peu de chose, et qu’un problème avec le peg de l’UST ou des réserves d’Anchor Protocol pourrait créer une catastrophe. J’ai bien profité de quelques swing trade sur ANC et je me demande si je ne devrais pas m’en tenir là pour le moment. En attendant, je m’en sers comme collatéral pour mon trading sur FTX.
3.PAXG: L’or baisse car le dollar est perçu comme une réserve plus sûre. C’est à ne rien y comprendre, mais les enjeux géopolitiques actuels prennent le dessus, et il est très difficile de voir ce qui se joue en coulisse. Ceci dit, cette poche me sert de réserve en cas de décrochage du bitcoin vers 30 000 $. Après tout, c’est un portefeuille crypto !
4.ATOM: Le token du Cosmos Hub me semble sous-côté. Surtout quand je vois que des tokens comme APE progressent pendant qu’un token à l’importance technologique dans les blockchains actuelles perd un quart de sa valorisation en une semaine… J’ai une position de swing trading qui commence à devenir importante (6,3% de mon portefeuille !). Mais c’est un choix délibéré et je peux être partient avec ATOM… Mon prochain ordre est vers 8 $, donc autant dire qu’il faudra un crash sur les cryptos (ce qui est bien sûr possible !).
5. BTC: Le bitcoin fait la pluie et le beau temps. Là, c’est la pluie de printemps visiblement. La réponse est donc dans le DCA.
6. The Winkyverse, grosse déception, dégringole avec mon portefeuille. C’est le risque avec ce genre de projet, mais cela reste une position spéculative à moyen terme. Quand je dis spéculatif, cela signifie pour moi avoir conscience que je peux tout perdre (ou faire X10…)
6 b (En théorie, je devrais placer l’Ethereum ici, mais comme ma position est scindée en gros en un tiers ETH sur le réseau principal et deux tiers wETH sur Polygon, je les compte séparement dans ma gestion du risque).
7. DAI: Je suis entrain de transverser ma position de farming de Scream à Just Mining, tout en passant de Fantom à la BSC. Je suis déjà assez exposé en tokens FTM (et un peu de BOO achetés à bon prix) sur cette blockchain qui a connu la gloire, mais qui garde des qualités techniques. Hier par exemple, il y a eu une grosse liquidation de plusieurs dizaines de milions de dollars d’une position en collatéral sur le marché , faisant exploser les frais de transactions (enfin, qui restaient largement sous le dollar, mais au lieu de quelques centimes…). La chaîne a plutôt bien absorbé l’événement. Je reste confiant dans la technologie… Après, point trop n’en faut. PS: c’est exactement pour ce genre de risque d’être liquidé que j’évite toute collatéralisation (si ce n’est sur du trading sans levier).
8. ELK: Le token chute, après un passage réussi à la v2. Les rendements ont été divisés par deux (un halving en somme) pour éviter une dilution du token, ce qui est plutôt intelligent. Le marché d’ensemble semble cependant d’un avis différent. Mais vu le contexte, cette nanocap reste risquée.
9. USDC: L’ensemble est à peu près stable, car je suis sorti sur le point d’entrée d’un swing sur FTT mais renforcé ma position d’ATOM tout en achetant quelques tokens dans le cadre de mon DCA mensuel (un peu de GRT et SOL notamment).
10. EOS: J’avais hésité à vendre sur 3$ pour reprendre plus bas, mais tant pis, je ne l’ai pas fait.
Le marché d’ensemble est toujours dans l’hésitation, même si techniquement, il n’y a absolument rien de positif pour les prochaines semaines de mai. Mais l’analyse technique n’est pas infaillible, juste une aide à la décision. Pour le moment, elle me dit de continuer mes DCA sans chercher autre chose.
Mon portefeuille se concentre, notamment parce que les petits projets spéculatifs décrochent encore plus que mon TOP 10 relativement riche en stablecoins !
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Notez que ces dix principales positions représentent 56,2 % de mon portefeuille crypto total (fiats de réserve exclus, mais stablecoins et wETH inclus).
Bonne semaine et soyez prudents ! N’investissez que des sommes que vous pourriez perdre !
Disclaimer: Tout ce qui est exprimé dans cette lettre ne reflète que l’avis personnel de son auteur et ne constitue en rien un conseil en investissement. Chacun est responsable de ses propres décisions dans la gestion de son patrimoine.
En ce dimanche de test de QI national (encore appelé « élections présidentielles »), je profite d’un petit moment dans une très belle journée, quoiqu’un peu trop chargée, pour faire le bilan hebdomadaire de mon portefeuille crypto.
Tout comme la météo, la semaine a été difficile pour le marché crypto. La volatilité est toujours présente, avec des mouvements effaçant les gains de la semaine précédente (-5,55% pour être précis).
En toute logique, le tableau hebdomadaire est bien rouge…
au 10/4/2022 vers 14h00 CET – Source: https://quantifycrypto.com/heatmaps
Mon portefeuille crypto replonge vers le bas, bien que toujours en gain de presque 18% depuis janvier (bien qu’il faille prendre en compte la correction nécessaire en raison de la surestimation du jeton WNK).
(Rappel: les données de cet indice ne prennent pas en compte les rentrées d’euros fiats, mais seulement la performance « nette », ajouts de liquidités déduites, plus représentative).
1. BUSD: Ce stablecoin se retrouve à la première place de mon portefeuille. J’ai mis à jour des gains de farming et surtout la conclusion de mon swing trade sur le token du protocole de DeFi ALPACA. Voir les détails sur https://t.me/journaldetrading_investissement/540
2.PAXG: L’or se maintient bien. Pour moi, il est toujours sous-évalué car le monde occidental se voile la face, d’autant plus qu’il est côté en dollar, qui est fort en ce moment par rapport à la plupart des autres devises, c’est pour dire !
En tout cas, j’aimerai savoir pourquoi ces chiffres sont faux à la fois sur Coingecko et Coin Marketcap, deux sites de référence des cryptomonnaies ?
3. UST: Aucun changement de la valorisation. Je les garde en tant que poche de liquidité depuis un mois au moins, mais rien ne m’inspire. J’aurai mieux fait de les mettre en farming à 19 % APY (même si ces taux ne vont pas durer bien longtemps) sur Anchor Protocol... Mais comme je n’aime pas mettre tous mes oeufs dans le même panier…
4. The Winkyverse, toujours en tête sur les données erronées de Coingecko, mais en vérité à -30% des chiffres indiqués sur le vrai marché, et donc seulement à la 4ème place de mon portefeuille.
Je n’ai pas corrigé la valorisation totale de ce dernier (qui devrait être environ -2.5/-3% de moins qu’indiqué plus haut) parce que le flux de données devrait être corrigé tôt ou tard. Cela en dit long également sur le poids du projet: à savoir pas grand chose. On est dans du nanocap, même en crypto. Cela n’enlève en rien son potentiel spéculatif, mais je plains les gens qui misent la moitié ou plus de leur avoirs sur des projets hautement spéculatifs dans l’espoir de faire X100 et qui s’étonnent que cela ne se passe pas toujours comme ça en quelques jours !..
A suivre donc. Pour moi, c’est une position de moyen terme, au moins sur la durée du vesting.
5. BTC: Le bitcoin baisse à nouveau cette semaine, mais finalement moins que de nombreux altcoins. Comme un air de déjà vu… Ceci dit, un retour sur 40 000 $ ne me choquerait pas et tant que l’on reste dans le canal datant de janvier, tout va bien. Encore une fois la MME200 en daily a été significative… On peut penser ce qu’on veut de l’analyse technique, mais c’est tout de même un bel outil de visualisation et d’aide à la décision. Enfin, mon critère de choix initial est plutôt le long terme et donc je pratique le DCA régulièrement sur le bitcoin…
5 b (En théorie, je devrais placer l’Ethereum ici, mais comme ma position est scindée en gros en un tiers ETH sur le réseau principal et deux tiers wETH sur Polygon, je les compte séparement dans ma gestion du risque).
6. DAI: Je n’y ai pas touché. J’ai pris du retard sur la mise à jour de sa valorisation exacte (une partie est en farming sur Scream).
7. FTT: Le token de la plateforme FTX revient dans mon TOP 10. Je continue tranquillement mon trading de volatilité avec de petites cibles. Mon TP indiqué n’est qu’une projection en cas de pic de volatilité. J’ai d’autres conditions de sortie sur ce type de trade.
8. ELK: En raison du passage à la v2 du token de farming ELK, j’ai sorti toutes mes pools de liquidité et pris mes bénéfices de farming. Bien que le token soit dans sa fourchette (très) basse de valorisation, sa valeur réelle est restée assez stable. Cela reste un pari sur l’avenir d’un token classé vers la 1000 ème valorisation crypto ! Mais qui a du potentiel… Il vaut environ 3,7% de mon portefeuille, ce qui est beaucoup, mais raisonnablement risqué.
(Je ne compte pas la ligne Stasis Euro, car cela représente simplement mes nouvelles entrées d’euros fiat non encore utilisés et des « résidus » sur Kraken et FTX, où je laisse toujours quelques ordres éloignés en cas de krach surprise).
10. WETH: Mes ETH (wrappés sur le réseau Polygon) entrent à eux seuls dans le top 10. Il faut dire que l’ETH est en forme, surtout par rapport au bitcoin. La v2 d’Ethereum se précise et porte des espoirs…
Durant cette semaine en rouge, c’est à l’EOS de sortir de mon TOP 10 (de peu). Se dirige-t-on vers mon Stop Loss ? Oui, certainement !
N’oubliez jamais que la diversification entre cryptos est faible. Tout est basé sur le comportement du bitcoin (et éventuellement l’ETH). Le reste n’est qu’un moyen d’optimiser les entrées et les sorties, tout en essayant de gagner un peu davantage en misant sur les bons chevaux. L’analogie avec les courses n’est pas fortuite…
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Notez que ces dix principales positions représentent 48,2 % de mon portefeuille crypto total (fiats de réserve exclus, mais stablecoins et wETH inclus).
Bonne semaine et soyez prudents ! N’investissez que des sommes que vous pourriez perdre !
Disclaimer: Tout ce qui est exprimé dans cette lettre ne reflète que l’avis personnel de son auteur et ne constitue en rien un conseil en investissement. Chacun est responsable de ses propres décisions dans la gestion de son patrimoine.
Ce début du printemps s’annonce bien pour les cryptos. Cette semaine encore, une belle progression (+7,31% pour être précis) sauf en ce qui concerne le cas spécifique du token du Winkyverse (voir plus bas). Ce chiffre n’est donc qu’une estimation exagérée, en tout cas en ce qui concerne la valorisation réelle de mon portefeuille ! (Après correction, on devrait plutôt être sur du 3-4% à la louche).
Le marché crypto en général se porte d’ailleurs mieux que les marchés actions, qui globalement, stagnent.
Bien sûr, la volatilité peut revenir à tout moment. Il suffit de garder une vision à long terme…
au 3/4/2022 vers 15h00 CET – Source: https://quantifycrypto.com/heatmaps
Mon portefeuille crypto continue sa progression (bien qu’il faille prendre en compte la correction nécessaire en raison de la surestimation du jeton WNK), avec un gain de plus de 16% depuis janvier. (Rappel: les données de cet indice ne prennent pas en compte les rentrées d’euros fiats, mais seulement la performance « nette », ajouts de liquidités déduites, plus représentative).
1. The Winkyverse, toujours en tête. Je suis assez déçu de la réaction du cours après le listing (30 mars) sur BitMart. Ce projet sortira-t-il réeellement de l’univers francophone ? Notez également qu’il semble y avoir une erreur au niveau de la valorisation sur Coingecko. En effet, la vraie valeur est plutôt en chute à 0.085 $, ce qui change pas mal de choses dans la valorisation totale du portefeuille. N’étant cependant pas chez moi pendant quelques jours, je ne vais pas recalculer à a main l’ensemble, mais cela donne également une limite à l’estimation précise d’un portefeuille crypto. Enfin, la volatilité étant importante, cela se lisse dans la durée… Ceci dit, c’est comme un portefeuille action avec seulement des nanocaps… On ne connait la vraie valeur qu’au moment de la vente… Quoiqu’il en soit, pour le token WNK, il y a clairement quelques gros portefeuilles qui vendent… Très franchement, j’aurai fait pareil après le peu de réactions positives au listing, mais malheureusement, j’ai oublié de prendre ma Ledger avec moi alors que je partais… Ca aussi c’est un paramètre que beaucoup trop de gens oublient. Et c’est aussi pour cela que je raisonne plutôt sur le moyen/long terme.
2. BUSD: Aucun changement. Il faut vraiment que je mette à jour les gains de farming (environ la moitié de ma position), le reste est liquide.
3. BTC: Le bitcoin continue sa remontada et se retrouve en haut de mon portefeulle (même s’il n’est qu’à 5,5% du global !), qui reste très diversifié en stablecoins. Je continue une part en DCA tous les débuts de mois et ce que j’ai acheté dans les creux s’est très logiquement valorisé !
4. UST: Aucun changement.
4 b (En théorie, je devrais placer l’Ethereum ici, mais comme ma position est scindée en gros en un tiers ETH sur le réseau principal et deux tiers wETH sur Polygon, je les compte séparement dans ma gestion du risque). L’ETH a encore très bien performé, mais mon DCA est inférieur à celui du BTC qui lui passe devant donc…
5.PAXG: L’or, toujours à la baisse, dans un monde où le mot « crise » perd de son sens face à la multiplication des événéments…
6. USDC: En valeur absolue, petite progression de la valeur totale due à une prise de bénéfice partielle sur mon swing trade sur AAVE et aussi une prise de bénéfice sur une micro-position spéculative sur le token GST du projet STPN des amateurs de running en chaussures NFTs sur la blockchain Solana… C’est typiquement le genre de projet qui ne m’inspire rien de bon à long terme, mais qui peut exploser à la hausse sur le moyen terme. J’aime bien placer quelques lignes pour attraper ce genre de gains, cela compense les quelques -90% sur d’autres projets ultra-spéculatifs dégénérés.
7. DAI: Je n’y ai pas touché. J’ai pris du retard sur la mise à jour de sa valorisation exacte (une partie est en farming sur Scream).
8.EOS: A la base, c’est une position de swing trading de moyen terme. Belle progression à deux chiffres pour la troisième semaine… Le cours a touché 3$ (et donc la MME200 en journalier). Va-t-il passer cette résistance ?
(Je ne compte pas la ligne Stasis Euro, car cela représente simplement mes nouvelles entrées d’euros fiat non encore utilisés et des « résidus » sur Kraken et FTX, où je laisse toujours quelques ordres éloignés en cas de krach surprise).
9. WETH: Mes ETH (wrappés sur le réseau Polygon) entrent à eux seuls dans le top 10. Il faut dire que l’ETH est en forme. Je continue un peu de DCA mensuel, mais je pense rééquilibrer en revenant sur le token sur le réseau mère Ethereum.
10. ELK: J’ai tout en farming, à des rendements intéressants qui amortissent en grande partie sa baisse récente (mais que je n’ai pas encore intégré dans ma valorisation mensuelle). Le token remonte et j’ai hâte de voir l’évolution sous peu du réseau Elk v2. J’ai suivi avec intérêt leur présentation au Avalanche Summit à Barcelone. En passant, ils ont une page Medium très bien faite qui mérite d’être lue, je vous mets leur Linktree. Bref, on reste sur du nanoprojet, mais c’est justement ce qui peut faire des multiples de valorisation impressionnants. Avec les risques importants liés à un early project… On voit bien que c’est du projet presque familial, et donc il faut y investir en toute connaissance de cause.
Cette semaine, je n’ai encore une fois pas fait grand chose. Et ce n’est pas simplement le manque de temps, mais il faut bien comprendre que c’est pendant les baisses qu’il faut acheter… Hors trading court terme bien sûr !
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Notez que ces dix principales positions représentent 51,6 % de mon portefeuille crypto total (fiats de réserve exclus, mais stablecoins et wETH inclus).
Bonne semaine et soyez prudents ! N’investissez que des sommes que vous pourriez perdre !
Disclaimer: Tout ce qui est exprimé dans cette lettre ne reflète que l’avis personnel de son auteur et ne constitue en rien un conseil en investissement. Chacun est responsable de ses propres décisions dans la gestion de son patrimoine.
Pour « fêter la 10ème newsletter », une belle semaine pour le marché crypto avec la plus grosse progression hebdomadaire depuis le début de l’année (+9,31% pour être précis). J’ai eu quelques altcoins mineurs qui ont très bien performés, en plus de la bonne tenue générale du bitcoin bien sûr !
Les marchés actions sont en progression (surtout aux US; en Europe, cela peut très bien n’être qu’un dead cat bounce…)
Bien sûr, tout dépendra encore de la géopolitique…
au 27/3/2022 vers 12h00 CET – Source: https://quantifycrypto.com/heatmaps
Pour en revenir aux cryptos, la valorisation totale butte sur la barre des 2 T$, qui correspond aux anciens plus bas de décembre 2021. On verra bientôt si la résistance fera son office et que l’on va à nouveau (fortement) corriger ou si une tendance haussière peut reprendre… Graphiquement, rien d’extraordinaire, même si la divergence au niveau du RSI semble commencer à faire son effet, la proximité de la MME200 en journalier, ainsi que la résistance susmentionnée n’est pas très rassurante.
Mon portefeuille crypto atteint une valorisation record depuis le début de l’année, mais rien n’est acquis. (Rappel: les données de cet indice ne prennent pas en compte les rentrées d’euros fiats, mais seulement la performance « nette », ajouts de liquidités déduites, plus représentative).
1. The Winkyverse, s’est repris avec le marché crypto (+33%, certes après une baisse équivalente). Personnellement, j’attends avec impatience la réaction du cours après le listing (prévu le 30 mars) sur BitMart. Ce dernier est un CEX sérieux, de l’ordre de grandeur de Kraken, bien que sans doute moins connu que celui-ci. C’est donc plutôt un bon choix pour un début… A voir quel est la visibilité de ce projet français à l’international… Bien sûr, il y a énormément de spéculation possible sur ce type de projet sérieux…
2. BUSD: Peu de changement, à part les quelques gains de la clôture du petit swing trade sur FTT -à 45$ à +1,73%, bien trop tôt, mais je suis un système basé sur la volatilité et qui vise des petits gains réguliers. A noter qu’en vérité, il ne s’agit pas uniquement de BUSD, puisqu’un peu plus de la moitié de ce stablecoin est déposé sur la plateforme de trading de FTX, qui « globalise » tous les stables coins basés sur l’USD (et c’est très pratique). En tout cas, j’y ai versé des BUSD à l’origine.
3.PAXG: L’or progresse légèrement cette semaine. La question est de savoir si c’est un mouvement de fond durable ou non… De toute façon, ici, ce n’est qu’une diversification de mes stablecoins en dollars de plus (et aussi un ordre limite d’achat de bitcoin en cas de grosse chute brutale…)
4. UST: Aucun changement, mais le stablecoin de l’écosystème TerraLuna repasse derrère l’or, parce que l’or a monté…
5. USDC: Réserve en progression cette semaine, en raison de la clôture de deux « expérimentations » du passé (c’est à dire datant de fin novembre). L’arrêt du DAO Invictus (qui vient de mes expériences avec les rebases tokens, il faut d’ailleurs que je fasse un article dédié sur ce sujet dès que j’aurai un peu le temps…) m’a « remboursé » une part en USDC et ma prise de profit de l’explosion récente du projet Rubic (RBC), où j’avais un prix de revient raisonnablement lissé depuis novembre. Pour Rubic, j’ai hésité : c’est une société crypto basée en Russie, ce qui ne doit pas être étranger au +110% de son token cette semaine, et il reste du potentiel, mais cela me semble trop spéculatif sur le moyen terme.
6. DAI: Je n’y ai pas touché. La semaine prochaine, je mettrais à jour sa valorisation exacte, car une partie est en farming sur Scream.
6 b (En théorie, je devrais placer l’Ethereum ici, mais comme ma position est scindée en gros en moitié ETH sur le réseau principal et moitié wETH sur Polygon, je les compte séparement dans ma gestion du risque). L’ETH a encore sur-performé le BTC cette semaine au point où sa valorisation dépasse de quelques euros mon paquet de bitcoins.
7. BTC: Bonne tenue générale cette semaine… Avant une rechute ? Ou avons-nous atteint le plus bas de ce cycle ? Je ne suis pas devin, et je vais donc continuer tranquillement mon petit DCA. (Grosso modo, j’en achète un peu tous les mois, et beaucoup plus, les mois de fortes chutes).
8.EOS: A la base, c’est une position de swing trading de moyen terme. Belle progression à deux chiffres pour la seconde semaine… Pourvu que ça dure… Le cours va-t-il toucher les 3$ (et donc la MME200 en journalier) ?
(Je ne compte pas la ligne Stasis Euro, car cela représente simplement mes nouvelles entrées d’euros fiat non encore utilisés et des « résidus » sur Kraken et FTX, où je laisse toujours quelques ordres éloignés en cas de krach surprise).
9. ELK: J’ai tout en farming, à des rendements intéressants qui amortissent en grande partie sa baisse récente (mais que je n’ai pas encore intégré dans ma valorisation mensuelle). Le token reste sous 2$, mais l’Elk version 2 est prévu pour très bientôt.
10. WETH: Mes ETH (wrappés sur le réseau Polygon) entrent à eux seuls dans le top 10. Il faut dire que l’ETH est en forme. Si l’ETH passe bien en proof of stake et qu’il tient ses promesses, je pense qu’il peut écraser les autres projets prometteurs. La prime au premier (… à offrir des smart contracts, et à avoir la plus grosse communauté de développeurs) !
Cette semaine, je n’ai encore une fois pas fait grand chose. Hors la vente (forcée) de mes tokens Invictus (sur Solana), ma prise de profit de mes Rubic et mon petit swing trading habituel sur FTT... On sème sous la pluie et on attend les beaux jours pour récolter. Or, au propre comme au figuré, nous sommes au printemps, avec un temps qui peut rester variable. Parfois (souvent), il faut juste attendre.
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Notez que ces dix principales positions représentent 52,2 % de mon portefeuille crypto total (fiats de réserve exclus, mais stablecoins et wETH inclus).
Bonne semaine et soyez prudents ! N’investissez que des sommes que vous pourriez perdre !
Disclaimer: Tout ce qui est exprimé dans cette lettre ne reflète que l’avis personnel de son auteur et ne constitue en rien un conseil en investissement. Chacun est responsable de ses propres décisions dans la gestion de son patrimoine.
Après plusieurs semaines, mon portefeuille crypto est ENFIN en hausse (de +5,53 % pour être précis).
Comme toujours, le marché est tiré par le bitcoin, mais l’ethereum a bien progressé également. Bref, le marché crypto « y croit ». En quoi exactement, je ne sais pas, mais si on regarde les valorisations en 2021, sans vraiment d’applications concrètes, et que l’on compare au marché 2022, où la Defi se propage, et la connaissance du grand public sur le bitcoin augmente, il parait logique que les prix remontent. Bien sûr, l’essentiel est l’abesence d’une régulation pas trop restrictive aux US et en Europe…
Notons tout de même que la corrélation avec le marché action reste importante et que cette semaine a été bénéfique pour la plupart des marchés…
En tout cas, voir un peu de vert est agréable…
au 20/3/2022 vers 10h30 CET – Source: https://quantifycrypto.com/heatmaps
J’ai ajouté dans mon tableur un indice (basée sur la valorisation en euros). Les données commencent à la première newsletter, puisque cela sera ma référence.
L’indice est exprimé par rapport à des données basées sur la valorisation en euros en retranchant les ajouts de liquidité en euros fiat, que je fais régulièrement pour mes stratégies de DCA. Il indique donc la performance pure. A ce jour, en 3 mois donc, le gain est de 6,39%. Ce n’est pas folichon, mais j’utilise une approche conservatrice et je vous laisse comparer au rendement du marché action…
L’indice est légèrement sous-évalué. Il faudrait ajouter d’ailleurs certains revenus de staking et de farming, notamment de stablecoins, que je ne mets à jour essentiellement qu’une fois par mois, sans parler du fait que je compte mes quelques NFTs spéculatifs à une valorisation de 0 en raison du peu de liquidité et du risque lié à ce type de produits (ce qui est donc une valorisation excessivement prudente). Voir la newsletter n°7.
1. BUSD: Le BUSD repasse en tête, essentiellement à cause de la clôture de mon swing trade de volatilité sur FTT (à +2,72%). A noter qu’en vérité, il ne s’agit pas uniquement de BUSD, puisqu’un peu plus de la moitié de ce stablecoin est déposé sur la plateforme de trading de FTX, qui « globalise » tous les stables coins basés sur l’USD (et c’est très pratique). En tout cas, j’y ai versé des BUSD à l’origine.
2. The Winkyverse, même s’il reprend un peu de valeur cette semaine, en harmonie avec le marché crypto global, je suis quasiment à mon PRU. A voir si ce projet français peut se développer assez rapidement pour soutenir les cours…
3. UST: Aucun changement, mais le stablecoin de l’écosystème TerraLuna repasse devant l’or, parce que l’or a baissé…
4.PAXG: L’or baisse, à croire qu’au niveau géopolitique, tout va bien… Décidemment, l’or reste bien une valeur de réserve, mais il semblerait que ce qui est considéré comme une crise est de plus en plus grave…
5. DAI: Petite baisse, car j’ai profité d’un trou d’air sur les actions tokenisées de Mont Pelerin Shares (MPS) et surtout sur Fantom pour me délester légèrement.
5 b (En théorie, je devrais placer l’Ethereum ici, mais comme ma position est scindée en gros en moitié ETH sur le réseau principal et moitié wETH sur Polygon, je les compte séparement dans ma gestion du risque). L’ETH a sur-performé le BTC cette semaine au point où sa valorisation dépasse de quelques euros mon paquet de bitcoins.
6. BTC: Un coup ça monte, un coup ça descend. Mais la réserve de valeur persiste…
7. USDC: Inchangée, mais il se retrouve derrière le BTC cette semaine.
(Je ne compte pas la ligne Stasis Euro, car cela représente simplement mes nouvelles entrées d’euros fiat non encore utilisés, notamment sur Binance avec la reprise des dépôts bancaires suspendu depuis des mois, et des « résidus » sur Kraken et FTX, où je laisse toujours quelques ordres éloignés en cas de krach surprise).
8.EOS: A la base, c’est une position de swing trading de moyen terme. Toujours dans le bas du range qui vient de connaître un « incroyable » bond de 12% sur la semaine…
9. ELK: Après avoir bien chuté ces dernières semaines, cet excellent petit projet Defi prometteur se reprend. J’ai failli renforcer vers 1,50$, mais j’y suis déjà très exposé (pour ce qui reste un pari risqué). J’ai noté que la team (encore plus ou moins anonyme) devrait être présente à Barcelone : https://hackathon.avalanchesummit.com/agenda/session/835848 . D’autre part, ce genre d’informations me conforte dans le potentiel de ce projet, qui reste à mon avis sous-valorisé.
10. WETH: Pour la première fois, mes ETH (wrappés sur le réseau Polygon) entrent à eux seuls dans le top 10. Il faut dire que l’ETH est en forme. Si l’ETH passe bien en proof of stake et qu’il tient ses promesses, je pense qu’il peut écraser les autres projets prometteurs. La prime au premier (… à offrir des smart contracts, et à avoir la plus grosse communauté de développeurs) !
Cette semaine, je n’ai pas fait grand chose. J’ai quelques swings en cours, un peu de DCA. J’attends que le marché se décide… Parfois (souvent), il faut juste attendre.
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Notez que ces dix principales positions représentent 52,9 % de mon portefeuille crypto total (fiats de réserve exclus, mais stablecoins et wETH inclus).
Bonne semaine et soyez prudents ! N’investissez que des sommes que vous pourriez perdre !
Disclaimer: Tout ce qui est exprimé dans cette lettre ne reflète que l’avis personnel de son auteur et ne constitue en rien un conseil en investissement. Chacun est responsable de ses propres décisions dans la gestion de son patrimoine.
Toujours de la volatilité sur la plupart des marchés, mais comme tout le monde peut le comprendre, tant qu’il y aura une guerre aux portes de l’Europe, je ne vois pas comment cela pourrait se stabiliser…
Après un regain d’espoir (ou des rachats de shorts sells probablement) le 9 mars, la baisse a globalement reprise.
En ce qui concerne mon portefeuille crypto, la pire semaine depuis le début de l’année, avec un -7,1%, ce qui me place officiellement en perte sur l’ensemble (<-0,5%), mais tout de même !
La cause principale est la forte baisse de deux grosses positions spéculatives (Winkyverse et Elk Finance), sans parler de mes investissements minoritaires qui prennent aussi l’eau, avec notamment le « drame » du départ d’Andre Cronje, un des développeur principal de l’écosystème Fantom. Même si c’est loin d’être une pièce importante du réseau actuel, on voit bien que l’immense majorité des projets cryptos est bien l’équivalent d’une nanocap dépendante d’une petite équipe.
C’est à ces moments là qu’on comprend l’importance d’avoir une poche en stablecoins pour amortir le choc… Mais comme il n’y a pas de gros gains sans grosse volatilité (et donc sans gros risques), c’est un choix de placer le curseur où l’on estime qu’il doit l’être…
au 13/3/2022 vers 14h CET – Source: https://quantifycrypto.com/heatmaps
J’en profite pour parler rapidement du marché actions en général. Je prend le « repère mondial », à savoir le SP 500.
Sur le long terme, en données mensuelles, on voit clairement que d’une part, depuis au moins 2016, on est dans une zone d’excès (qui certes, s’explique très bien, avec les « plans de relance » et autres impressions monétaires de la Fed). Depuis les plus hauts de décembre, il y a de la place pour environ 30% de correction pour atteindre ne serait-ce que les plus hauts de 2020 pré-Covid…
En données hebdomadaires, on voit qu’à partir de maintenant, il faudrait encore une correction de 18% supplémentaires, ce qui correspondrait pile à la MME200.
J’utilise ce genre de graphique pour tout, et il est très rare qu’après une sortie de la bande rouge supérieure, il n’y ait pas un retour jusqu’à cette moyenne mobile 200 très regardée (surtout en weekly !).
Certes, l’analyse graphique n’est qu’une manière de visualiser, mais néanmoins, avec des fondamentaux catastrophiques (inflation post-Covid, tout en sachant que le Covid N’EST PAS FINI, guerre pouvant potentiellement dégénérer bien davantage…), je trouve que la correction récente semble très légère.
Pourquoi parler du SP 500 ? Tout simplement parce que même si les cryptomonnaies répondent à d’autres logiques et résolvent d’autres problèmes, ceux qui font bouger réellement les cours sont les mêmes qui investissent en bourse. Tout n’est que vases communiquants. Certes, il peut y avoir une certaines décorrélation entre différentes classes d’actifs (et a fortiori les cryptos), mais cela ne peut être que provisoirement (ne serait-ce que pour couvrir des appels de marge ou simplement réinvestir dans du « réel » pendant/après un krach).
Jamais les cryptomonnaies n’ont eu autant de visibilité (par la guerre en Ukraine, le gels des actifs russes et les régulations diverses, sans même parler de l’inflation) et de raison de grimper, et pourtant, cela reste globalement baissier ! On voit bien que Defi ou non, la finance reste globale !
Attention, cela ne veut pas dire qu’on ne peut pas faire quelques achats, à coup d’épuisettes bien placées et d’investissements progressifs, mais il faut rester prudent et suivre une méthode stricte et clairement rédigée. Pour moi, les plus bas (en cryptos ou en bourse) ne sont pas atteints. A moins d’une solution miracle rapide en Ukraine, je ne vois pas comment cela pourrait être le cas d’ailleurs… (Malheureusement).
1. The Winkyverse, toujours en tête. C’est un pari risqué. Cette semaine j’ai fortement hésité à vendre mon 2ème sixième de mon allocation reçue après l’ICO…. Mais je garde confiance en l’équipe pour qu’il y ait une introduction sur un CEX « correct » sous peu. Ceci dit, -27% en une semaine, cela fait beaucoup.
2.PAXG: Seconde place logique… L’or se maitient bien vu la situation géopolitique, comme toujours.
3. UST: Position inchangée. Normalement, j’aurais dû vendre mon petit bout de position restante sur ANC vers 4 $, mais mon PRU est vers 2,32$. Le cours a touché la MME200 daily… Soit ça rebondit, soit j’ai fait une erreur…
4. BUSD: Cette réserve est repassée devant le DAI, de peu, simplement parce que j’ai comptabilisé un peu de revenus de lending (datant de la fin 2021) et que j’ai dépensé quelques DAI…
5. DAI: Légère baisse. Je suis entré sur une petite position de BOO de 0,3% de mon portefeuille (le token du plus gros DEX sur le réseau Fantom, Spookyswap, qui devrait rester le plus DEX du réseau Fantom qui à mon avis a été excessivement dévalorisé).
7. BTC: Volatilité, mais au final plutôt stable sur la semaine.
7 b (En théorie, je devrais placer l’Ethereum ici, mais comme ma position est scindée en gros en moitié ETH sur le réseau principal et moitié wETH sur Polygon, je les compte séparement dans ma gestion du risque). L’ETH a encore sous-performé le BTC cette semaine.
8. FTT: Après que mon TP ait été frôlé en début de semaine, mon trade de volatilité attent que cela bouge un peu plus…
9. ELK: Forte baisse cette semaine (-19% !). Ma position a moins baissé dans l’ensemble car j’ai comptabilisé mes ELK reçus pour mes positions de farming depuis plus d’un mois. Ceci dit, c’est un pari pour le long terme (au moins 2023), donc on verra bien. Je pense toujours que le protocole a un gros potentiel, même s’il subit bien sûr le marché…
10.EOS: A la base, c’est une position de swing trading de moyen terme. Toujours dans le bas du range. Presque un stablecoin ! (copié-collé des semaines précédentes, c’est pour dire que ça ne bouge pas spécialement…)
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Hormis mes achats en DCA et quelques entrées sur des niveaux stratégiques, j’attends surtout que la baisse se termine… Même si elle peut descendre beaucoup plus bas, ce ne sera pas forcément le cas avec les cryptos. Mais il y a tellement de choses qui peuvent « mal se passer », comme par exemple l’explosion du Tether (dont je n’ai plus rien en portefeuille) quand on apprendra qu’il est garanti en partie par des obligations douteuses ou simplement
Pour moi, il y a deux niveaux clés: 1,5 T$ et 2 T$ de valorisation totale du marché crypto. Tant que l’on ne sort pas dans une des directions de ce range, il ne se passera rien d’interprétable. Bien sûr, j’espère que cela sera par le haut, mais une perte de -50% supplémentaire n’est pas à exclure (en corrélation avec un krach boursier). Attention, cela peut encore durer des mois avec des hésitations.
Ce qui compte, c’est d’avoir une vision a long terme pour pouvoir au bon moment, agir et acheter alors que tout le monde parlera de la « fin des cryptos ».
PS: Le petit drapeau correspond à ma cible optimiste d’octobre dernier, mais qui reste valable pour le prochain mouvement haussier (je vous laisse calculer en terme de valorisation du bitcoin, mais 100 000 $ me parait être une cible optimiste cohérente…. Un jour.) A l’inverse, un bitcoin à 20 000$ reste possible.
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Notez que ces dix principales positions représentent 52,1 % de mon portefeuille crypto total (fiat de réserve et Ethereum/wETH exclus, mais stablecoins inclus).
Bonne semaine et soyez prudents ! N’investissez que des sommes que vous pourriez perdre !
Disclaimer: Tout ce qui est exprimé dans cette lettre ne reflète que l’avis personnel de son auteur et ne constitue en rien un conseil en investissement. Chacun est responsable de ses propres décisions dans la gestion de son patrimoine.
La semaine fortement baissière sur le marché action en raison des sanctions exceptionnelles prises contre la Russie. Les marchés ont réalisés que les dégâts collatéraux seront importants, et les marchés européens ont bien plus décrochés que les autres (sans mentionner le krach russe bien sûr…). Presque étrangement, le marché crypto a plutôt bien résisté. Au final, certaines cryptomonnaies ont même fortement progressées comme l’écosystème TerraLuna par exemple.
En ce qui me concerne, le portefeuille est pour la 4ème semaine consécutive légèrement en baisse, même s’il est toujours gagnant depuis le début de l’année. En vérité, j’ai sorti mes quelques NFTs de la valorisation de mon portefeuille (comptés jusqu’à présent dans ma poche de jetons Polygon, au prix d’achat). Plus précisément, je leur ai attribué une valeur de 0 $, en raison d’une liquidité trop faible et d’une valorisation incertaine. Dans l’absolu, ce n’est pas une valeur réelle, mais pour moi, ce sont des produits trop incertains pour les compter comme des tokens fongibles classiques, côtés en permanence et vendables en quelques clics au prix du marché.
A ce propos, je n’ai que peu de confiance dans les NFTs en général, et je ne compte pas en reprendre. On verra ce que ça donne d’ici un an ou deux…
Si je ne compte pas cette dépréciation, je suis légèrement positif sur la semaine, malgré la forte baisse des ces deux derniers jours.
Quoiqu’il en soit, il semblerait tout de même que la corrélation entre les cryptos et les marchés actions soit variable. Peut-on les considérer comme une classe d’actifs à part ? Je commence à le penser en tout cas.
au 05/3/2022 vers 20h CET – Source: https://quantifycrypto.com/heatmaps
1. The Winkyverse, toujours en tête même si j’ai allégé ma position en vendant 1/6ème (qui correspond donc au premier mois de vesting libéré). Je repasse donc sous les 10% de mon portefeuille crypto (ce qui est encore trop…). J’attends avec impatience le listing sur un CEX pour voir la réaction de son cours… En attendant, je me tiens prêt à solder mon 2ème mois de vesting reçu ce vendredi, quitte à racheter plus bas. Mais il est clair que le cours stagne, mais plutôt vers le bas… Ceci dit, normal vu le contexte général.
2.PAXG: Seconde place logique… L’or se maitient bien vu la situation géopolitique, comme toujours.
3. UST: Nouvelle remontée de ce stable coin de l’écosystème TerraLuna en raison d’une nouvelle prise de bénéfice sur ma position sur Anchor Protocol, qui a encore progressé de plus de 51% cette semaine. Ma position a fait +102% , par rapport au PRU restant (j’ai liquidé toutes mes positions de farming). Normalement, j’aurais dû tout vendre vu que mon TP « final » vers 4 $ a été touché, mais visiblement ce token est acheté en masse, et il entre en mode parabolique. Cela veut dire qu’il peut aller encore plus loin, surtout que le reste du marché n’est pas spécialement haussier pour le moment. A partir de maintenant, cela peut s’arrêter à 6, 7, 8 ou pourquoi pas 10 ou 15 $, en mode irrationnel. J’ai donc gardé la moitié de ma position restante. Plus de détails ici: https://t.me/journaldetrading_investissement/534
C’est dans ce genre de cas qu’on pourrait regreter de ne pas avoir gardé davantage, mais comme je suis systématiquement mon plan de trading dans ces situations (avec quelques adaptations éventuellement, mais en tout cas, le nombre de fois où on « perd » en vendant trop tôt est largement négligeable par rapport aux quelques fois où l’on vend trop tard avec une vraie perte !).
4. DAI: Position inchangée.
5. BUSD: Légère progression de cette poche de stablecoins, essentiellement en raison d’une liquidation de ma position de trading de volatilité sur le FTT (avec un petit gain facile de +2,95% en 9 jours, en passant). J’ai repris une autre position, encore partielle à ce jour.
6. USDC: Position inchangée.
7. BTC: Après une progression « surprise » jusqu’à 45400$, le soufflé est retombé. Mais au final, le bitcoin se tient remarquablement bien.
7 b (En théorie, je devrais placer l’Ethereum ici, mais comme ma position est scindée en gros en moitié ETH sur le réseau principal et moitié wETH sur Polygon, je les compte séparement dans ma gestion du risque). L’ETH a sous-performé le BTC cette semaine.
8. ELK: Position inchangée, mais le cours baisse petit à petit.
9. FTT: J’ai clôturé mon trade de volatilité avec +2,95% de gain, et j’en ai repris une nouvelle position…
10.EOS: A la base, c’est une position de swing trading de moyen terme. Toujours dans le bas du range. Presque un stablecoin !
Ma poche de stablecoins a encore augmenté. J’avoue que le marché est peu lisible, donc je continue « bêtement » mon DCA et quelques achats sur des niveaux significatifs, avec un peu de swing trading pour améliorer l’ordinaire.
Je suis prêt pour un vrai bear market, mais tout est lié à la géopolitique pour le moment, donc tout est possible. Je préfère avoir du cash en cas de krach que de gagner un peu plus avec un marché hésitant…
Mon TOP10 est fortement chargé en stablecoins ou assimilés (PAXG), mais n’oublions pas que le reste de mon portefeuille n’est constitué que d’altcoins…
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Notez que ces dix principales positions représentent 53,1 % de mon portefeuille crypto total (fiat de réserve et Ethereum/wETH exclus, mais stablecoins inclus).
Bonne semaine et soyez prudents ! N’investissez que des sommes que vous pourriez perdre !
Disclaimer: Tout ce qui est exprimé dans cette lettre ne reflète que l’avis personnel de son auteur et ne constitue en rien un conseil en investissement. Chacun est responsable de ses propres décisions dans la gestion de son patrimoine.
Quelle semaine ! Après la chute de la plupart des actions et cryptomonnaies lors de l’invasion de l’Ukraine par la Russie, le marché s’est presque étrangement repris. Pourtant la situation reste très tendue… Quoiqu’il en soit, la récupération sur la semaine reste très variable. Mon portefeuille crypto a néanmoins baissé de -1,55% par rapport à la semaine dernière (même s’il reste en bénéfice net depuis le début de l’année). Mon pari sur Anchor Protocol a sauvé ma semaine, et je remercie également mes stratégies basées sur l’investissement progressif, qui lissent forcément les prix d’entrée. Bien sûr, ma composante en stablecoins a également amorti le choc. Certains ordres d’achats conséquents ont été frôlés (notamment sur une partie de ma position en PAXG qui a failli être déclenchée à 0,06 BTC)…
au 26/2/2022 vers 19h CET – Source: https://quantifycrypto.com/heatmaps
1. The Winkyverse, toujours en tête. J’ai allégé ma position en vendant 1/6ème (qui correspond donc à la seule partie libérée en raison du vesting). Ce token se maintient remarquablement bien, il faut dire que le projet n’est qu’à ses débuts et sans la situation géopolitique, j’aurai tout gardé, mais je me sentais trop exposé proportionnellement par rapport à mon portefeuille crypto… Plus de détails ici: https://t.me/journaldetrading_investissement/533
2.PAXG: Seconde place logique… Après avoir connu un pic à plus de 2056 $ (donc bien plus que l’or physique), l’or a rechuté quelque peu. La journée du 25/2 a connu une volatilité incroyable (environ 4,8% entre les plus hauts et les plus bas) pour cet actif. L’or tokenisé par Paxos, s’il devrait valoir autant que l’or spot, puisque garanti par des stocks physiques audités, voit néanmoins un problème de liquidité en cas de pic de « peur ». Techniquement, cela revient à dire qu’en cas de panique, il voit sa valeur augmenté par rapport à l’or… Et comme l’or sert justement en cas de panique, c’est plutôt un avantage intéressant…
3. DAI: Position inchangée.
4. USDC: Grosse remontée en raison de la vente de mes WNK.
5. BUSD: Aucun changement.
6. UST: Nouvelle remontée de ce stable coin de l’écosystème TerraLuna en raison d’une prise de bénéfice sur ma position sur Anchor Protocol, qui a grimpé de plus de 69% cette semaine. Ma position a fait +40% (sans compter les bénéfices de farming), par rapport au PRU restant (qui correspond donc à des farms de ANC/UST sur Loop Finance) et vue la situation géopolitique actuelle, j’ai préféré clôturer (trop tôt, mais tout est relatif !). Plus de détails ici: https://t.me/journaldetrading_investissement/532
7. BTC: Après une grosse chute jusqu’à 34500$, le bitcoin s’est bien repris… Tout en perdant tout de même un peu plus de 2% par rapport à la semaine dernière.
7 b (En théorie, je devrais placer l’Ethereum ici, mais comme ma position est scindée en gros en moitié ETH sur le réseau principal et moitié wETH sur Polygon, je les compte séparement dans ma gestion du risque). L’ETH a surperformé le BTC cette semaine et mes deux positions sont identiques à quelques dollars prêt !
8. ELK: Beaucoup de volatilité, mais on reste toujours sur des niveaux stables pour ce petit projet à fort potentiel. Nous sommes plutôt vers le bas de la valorisation depuis le début de l’année… J’en ai repris un peu pour ajouter une position de farming avec quelques CRO sur le réseau Cronos donc.
9. FTT: Position de swing trading qui s’est bien reprise et qui frôle son TP et qui pourrait se clôturer peu après l’écriture de cette newsletter (mais mon système se base sur des clôtures journalières, donc nous verrons bien d’ici quelques heures…)
(Polygon: J’ai effectivement une petite position de fond, mais le classement provient d’un investissement-risque sur des NFTs utilitaires dont je reparlerai ultérieurement… J’ai gardé la valorisation initiale, qui est en MATIC. Je ne compte donc pas ce token dans mon TOP 10 hebdomadaire puisqu’il reflète du total MATIC+NFTs, dont aucune composante n’entre dans le classement prise séparément).
10.EOS: A la base, c’est une position de swing trading de moyen terme. Retour sur les plus bas, dans ma zone de stop loss. Normalement, mon SL a été touché le 24/2 lors de la chute du marché, mais comme je me base sur des signaux à la clôture pour ce trade et que les cours se sont bien repris… Je reste dans l’attente.
Pas de sortie du TOP 10 des valorisations de mon portefeuille cette semaine, mais un réarrangement du à des prises de profits…
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Notez que ces dix principales positions représentent 54,5 % de mon portefeuille crypto total (fiat de réserve et Ethereum/wETH exclus, mais stablecoins inclus).
Bonne semaine et soyez prudents ! N’investissez que des sommes que vous pourriez perdre !
PS: J’espère que la situation en Ukraine va se détendre, car comme le disait si bien Paul Valéry: » La guerre, c’est le massacre de gens qui ne se connaissent pas, au profit de gens qui se connaissent et ne se massacrent pas. »
L’Histoire et ses leçons servent-elles vraiment à l’Humain ou restons nous des Primates agressifs ? J’ai peur d’avoir la réponse…
Disclaimer: Tout ce qui est exprimé dans cette lettre ne reflète que l’avis personnel de son auteur et ne constitue en rien un conseil en investissement. Chacun est responsable de ses propres décisions dans la gestion de son patrimoine.
Toujours les montagnes russes sur les marchés cryptos ! Cette phrase devrait figurer en gros sur un post it collé à mon bureau tant elle est vraie. Il faut avouer que la situation internationale reste tendue. A mon avis, tant que la tension en Ukraine n’ira pas franchement dans un sens ou dans un autre, la sérénité sur les marchés ne sera pas de retour.
Si on ajoute à ça les « menaces » sur les cryptos aux USA, on comprend que les cours restent volatiles.
Mon portefeuille crypto reste stable, malgré une petite baisse hebdomadaire de -0,43%; qui se rajoute à la baisse de la semaine précédente… Pour le moment, j’ai eu de la « chance » (en fait, le résultats de mes choix passés). Cette semaine, c’est Anchor Protocol qui m’a sauvé la mise ! J’ai également réussi, avec beaucoup de peine, car j’ai dû fractionner ma (trop) grosse position (pour un investissement « risque ») en tokens SYL d’XLS Labs sur plusieurs achats/ventes, pour les revendre afin de les racheter plus bas, ce qui mécaniquement a stabilisé une position dans le rouge (le token a perdu près de 10%, mais j’ai réussi à en avoir 10% de plus avec le trading…).
Le marché global est contrasté, mais surtout dans les nuances de rouge, comme l’indique ce graphique:
au 19/2/2022 vers 18h CET – Source: https://quantifycrypto.com/heatmaps
1. The Winkyverse, toujours en tête. La position subi la baisse globale du marché et rentre dans ma zone d’alerte… Le projet devrait annoncer un listing sur un CEX, ce qui devrait booster les cours, mais est-ce bien le moment ? Je pense que les stratèges du projet pensent la même chose… En attendant, le staking a commencé, mais avec une petite poche qui a été rempli en 5 minutes. Bon coup de marketing pour booster la demande. Ceci dit, on ne peut pas dire que l’équipe ne fait rien !
2. BUSD: Rien de bien neuf, c’est le principe des poches de stablecoins. J’ai quelques ordres « lointains » pour profiter d’une chute rapide du marché et le reste en farming. Une légère baisse due à mes stratégies de DCA (j’y reviendrai, mais je lisse mes achats mensuels pendant tout un mois).
3.PAXG: l’or, toujours utile en cas de vraies tensions internationales ? A voir, mais pour le moment, visiblement oui…
4. DAI: Position inchangée.
5. BTC: Retour sur les 40 000 $. C’est assez logique, et tant que cela tient…
5 b (En théorie, je devrais placer l’Ethereum ici, mais comme ma position est scindée en gros en moitié ETH sur le réseau principal et moitié wETH sur Polygon, je les compte séparement dans ma gestion du risque). L’ETH suit le BTC, comme souvent, mais pas toujours.
6. UST: Poussée de ce stable coin de l’écosystème TerraLuna en raison d’une prise de bénéfice sur ma position de swing trading sur Anchor Protocol, qui a grimpé de plus de 50% cette semaine. Ma position a fait +43%, et vue la situation géopolitique actuelle, je clôture avec plaisir. J’hésite à les passer en farming sur Anchor justement, ou simplement les garder en réserve pour un autre swing trading… En passant, j’ai tout de même noté qu’il y a du slippage pour clôturer des positions « pas si grosses », ce qui m’inquiète un peu vu les millions en jeu. J’ai lu à plusieurs endroits sérieux que la liquidité est limitée et qu’il était difficile de ressortir en UST, visiblement c’est bien le cas. Si je compare à ce qui peut se faire sans impact sur le prix avec Sushiswap ou Pancakeswap sur d’autres stablecoins (et d’autres réseaux), il y a clairement une différence…
7. ELK: Beaucoup de volatilité, mais on reste toujours sur des niveaux stables pour ce petit projet à fort potentiel. Nous sommes plutôt vers le bas de la valorisation depuis le début de l’année…
(Polygon: J’ai effectivement une petite position de fond, mais le classement provient d’un investissement-risque sur des NFTs utilitaires dont je reparlerai ultérieurement… J’ai gardé la valorisation initiale, qui est en MATIC. Je ne compte donc pas ce token dans mon TOP 10 hebdomadaire puisqu’il reflète du total MATIC+NFTs, dont aucune composante n’entre dans le classement prise séparément).
8.EOS: A la base, c’est une position de swing trading de moyen terme. Retour sur les plus bas, dans ma zone de stop loss. Toujours plus près… J’espère pouvoir sortir en gain. C’était probablement un mauvais cheval sur lequel miser…
9. FTT: On dirait la même chose que la semaine dernière, mais pas tout à fait… J’ai clôturé avec un léger gain (0,98%), pour rouvrir plus bas, comme le demande mon système sur ce type de trading de volatilité. A suivre…
10. USDC: Inchangé (en fait, une légère baisse car j’avais oublié de reporter un achat sur Coingecko, que j’utilise pour faire le classement en « temps réel » et aussi dans cette newsletter, même si la seule chose qui fait foi, c’est mon tableau Excel.)
ANC sort logiquement du classement, en raison de la clôture de ma positon de swing trading (qui représentait tout de même presque la moitié de mes ANC). Plus de détails ici: https://t.me/journaldetrading_investissement/526
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Notez que ces dix principales positions représentent 51,8 % de mon portefeuille crypto total (fiat de réserve et Ethereum/wETH exclus, mais stablecoins inclus).
Bonne semaine et soyez prudents ! N’investissez que des sommes que vous pourriez perdre !
Disclaimer: Tout ce qui est exprimé dans cette lettre ne reflète que l’avis personnel de son auteur et ne constitue en rien un conseil en investissement. Chacun est responsable de ses propres décisions dans la gestion de son patrimoine.
#bourse la société http://Entreparticuliers.com a annoncé vouloir stocker de l'Ethereum, en plus de ses activités habituelles. On se croirait à l'époque où il fallait ajouter .com pour avoir l'air sérieux et attirer des investisseurs. C'était la bulle dotcom qui a éclaté peu après...
Je suis tombé sur cet outil: https://www.portfoliovisualizer.com , pas mal du tout (pour les actions US). Backtest & compagnie, il y a de quoi s'amuser quand on s'ennuie entre deux investissements !
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